HIS BLACK DOLL' II

08.

20h01; Manhattan; État Unis.

'Théïs

Je regarde les informations récolter par Sky défilez sur mon ordinateur depuis maintenant une heure.

Peut-être que je lis mal ?

Sky a peut-être fait une erreur dans ses recherches ?

Marco n'aurais jamais pu me cacher un truc aussi grave...n'est-ce pas ?

Non...il m'aurai jamais trahis de cette manière.

Il n'est pas comme ça...

— Deux enfants...deux gosses putain Je murmure en passant une main sur mon visage.

Comment j'ai fait pour ne pas le voire ? Comment j'ai fait pour ne pas voire que Kara était enceinte ?

Enceinte de mes gosses...putain...nos gosses !

Pourtant quand je remonte dans mes souvenirs, il y'a plus de six ans, je n'arrive pas à voire ce que j'ai manquer dans tous ça.

J'étais aussi aveugle pour ne pas voire son changement ?

Ou peut-être qu'elle a appris sa grossesse avant que je ne soit partir ?

Non...c'est impossible.

Marco le savait. Marco savait que Kara attendais mes gosses et tout les deux ont décidés de me le cacher. Ils ont former un putain duo de menteur et ont même pas pensés à moi dans l'histoire.

Putain...est-qu'il savent que j'ai un putain de coeur et des sentiments ?

Que je suis humain malgré...tout ?

— PUTAIN DE MERDE !!! Hurlai-je en balançant presque tous ce qui se retrouvait sur mon bureau.

La colère avait remplis tout mes sens m'empêchant presque de réfléchir convenablement.

La colère oui mais la tristesse encore plus car je me suis faite trahis par les seuls personne que j'aimais dans ce putain de monde.

Comment...comment ils ont osé me faire ça ?

Alors depuis tous ce temps je vis...je vis sans savoir que j'ai des petites partie de moi à l'autre bout du monde ?

Que je suis papa ?

Fermant furtivement les yeux, je m'acharne sur presque tous les objets qui se trouve sur mon chemin. Mon être, tout mon être bouillonne intensément. J'ai l'impression que je pourrais fondre à tout moment, fondre de colère, de tristesse...fondre de tous !

— Théïs...Oh mon Dieu mais qu'est-ce qui se passe ? Hurle Marta en pénétrant dans mon bureau.

Les mains ensanglantées, les yeux remplis de rage et le corps qui tremble, je ressemblait à ce moment là à un monstre, je le savait.