Chapitre 3

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- Tu es venue.
- Oui Chris, je suis venue...Pour parler.
- Si tu es venue que pour parler tu n'aurais peut-être pas due t'habiller comme ça. Dit-il en me regardant de haut en bas. Je roule des yeux avant de prendre la parole.
- Arrête de faire le con, je ne suis pas là pour ça alors dit ce que tu as à dire sinon je m'en vais.
- Relaxe, on ne vas que parler! Viens assois toi sur le lit. N'ai pas peur je ne vais pas te toucher et on ne fera rien si tu ne veux pas.
- Okay.
Je m'assois près de lui et attend.
- Écoute , je suis désolé j...
- Tu es désolé ?! J'en ai rien a foutre, est- ce que tu te rends compte de ce que tu as fait? T...Tu...Tu m'a vendu à un homme parce que tu n'avais pas ça marchandise... Tu ma vendu pour une nuit à un homme qui a failli me violer dans un hôtel où TU m'avais dis d'aller! Et pour couronner le tout tu débarque dans la chambre d'hôtel et tu tue l'homme. Je m'en fiche carrément que tu l'ai tuer, tu fais ça tout le temps. Ce n'est pas ça le problème... Le problème est qu'après l'avoir tué tu ne m'a même pas adressé un mot ou un regard, tu es juste parti. Tu m'a laissée seule avec un homme mort dans un lit d'une chambre d'hôtel. J'ai juste une question ... Pourquoi?
- S... Si je suis parti c'est parce que j'avais honte. Je ne voulais pas affronter ton regard rempli de dégoût. Je sais pas à quoi j'ai pensé quand j'ai accepté cet accord. Lorsqu'on s'est parlé j'étais totalement défoncé je ne savais pas ce que je fessais. Je ne t'aurai jamais vendu même pour tout l'or du monde. Tu sais très bien que je n'avais pas besoin de son argent, j'ai assez d'argent pour nourrir le pays au complet pendant dix ans. En plus je pensais arriver avant qu'il ne te touche... S'il te plaît pardonne moi, tu es tout ce que j'ai.

Je ne l'ai jamais vu aussi vulnérable. Lui d'habitude qui est si fort et qui ne montre jamais aucune émotion. Je le fixe sans rien dire. Je voudrais le pardonner, mais je n'y arrive pas. Ce qu'il m'a fait c'est trop pour moi. Voyant que je ne répond pas, il se lève et va vers la fenêtre de la chambre. Il fixe le vide et baisse la tête. Je me lève et vais vers lui. Je prends place à ses côtés. Il se tourne vers moi et dépose un léger baiser sur mon cou. Il remonte un peu pour but d'atteindre mes lèvres, mais je tourne ma tête.

- Je te jure que j'étais défoncé lorsque j'ai accepté de... te le laisser. Dit-il en chuchotant.
-Tu es toujours défoncé...
- ...
Le silence étais si profond que l'on pouvais entendre mon cœur battre. Il battait fort et vite, ma respiration étais lente. La proximité de Chris me déstabilisait, nous n'avions pas l'habitude d'être ensemble sans..."passer à l'acte". Au début notre relation étais purement sexuelle, mais avec le temps c'est devenue sérieux. Enfin... Je crois. Chris est, comment dire? Spécial! Ce n'est pas vraiment le genre de gars que tu présente à tes parents autour d'un dîner en famille. Surtout si tes parents son les riches propriétaires de l'entreprise la plus puissante des États-unis. Il est l'un des plus dangereux criminel d'Amérique. Le plus dangereux, le plus jeune et surtout le plus riche. Il inspire la peur à tous ceux qui croisent son chemin. Tous sauf moi. La première fois que nous nous sommes rencontré il a fahi me tuer , mais au point ou j'en étais, j'en avais rien a foutre d'être vivante ou d'être six pieds sous terre.

- Je m'en vais.
- ... Non, s'il te plait. Dit-il environ une dizaine de secondes plus tard (seconde qui me semblais plus être des heures).
- Il est tard et j'ai école demain moi , contrairement à toi.
- Ok vas-y, appelle moi... s'il te plaît.
- Peut-être. Dis-je avant de fermer la porte de sa chambre.

Seule dans cet ascenseur, je n'arrive pas à penser. Je me demande qui est la personne qui c'est levé un matin et s'est dit : " Pourquoi ne pas mettre une musique totalement ennuyante dans les ascenseurs dans le but d'énerver les gens? " Après un temps interminable , je sortis enfin de cette boîte à music infernale que les gens normaux appellent ascenseur. Je marche lentement vers la sortie de ce grand hôtel. Mes pensés sont embrouillées, je suis encore sous le choque de ce que je viens de voir ; Chris vulnérable. Ça c'est une première!

À la maison l'atmosphère est lourde, le silence règne. Jusqu'à ce qu'une voix vienne le rompre.
- Claire Olivia Berling, je te laisse 3 secondes pour être dans ma chambre, cria mon frère qui est venu nous rendre visite pour une semaine.
Qui peut-t-il y avoir d'autre a part mon frère pour crier comme un macaque sans cervelle dans la maison? La réponse est personne!

-J'ai pas la tête au connerie, dit moi vite ce que ta à dire, dis-je en rentrant dans sa chambre.
-Tu es allé voir ce salopard, cet enculer, ce chien qui te sert de copain?
- Oui et pour ton information ce n'est plus mon copain.
- Tu es débile ou quoi? Après ce qu'il t'a fait tu cours dans ses bras?
- Je ne lui ai pas couru dans les bras!
- Alors qu'est ce que tu fessais avec lui?
- Il a dit qu'il avait des explications à me donner, alors je suis allé le voir pour savoir ce qu'il avait à dire.
- Je ne veux plus que tu le voie, dit mon frère en claquant la porte de toutes ses forces.

Je rentre dans ma chambre et m'allonge sur mon lit. Je ne sais quoi penser, dire ou faire. Mes penser se bouscule dans ma tête dans l'espoir de pouvoir en sortir. Je suis seule face à cette situation, même mon psy n'a rien pu faire pour moi. Ma mère n'a jamais le temps pour moi, mon père est je ne sais ou pour je ne sais combien de temps pour un sois disant voyage d'affaire et mon frère à déjà des problème de comportement qu'il doit régler. En gros personne n'a le temps pour moi. Vous vous demandez sûrement ou sont mes amis? Et bien c'est aussi la question que je me pose! Être la "reine" de l'école ma fait comprendre que je n'ai pas d'amie mais plutôt des sujets. Les gens qui m'entoure agissent comme des chiens dont je me sert pour obtenir ce que je veux et j'ai toujours aimer cela du
moins jusqu'à aujourd'hui.
Je fus sortie de mes penser par un bruit provenant de ma fenêtre. Je me lève nonchalamment et me dirige vers la fenêtre. Je vois une ombre dans l'arbre qui se trouve a moins d'un mètre de ma fenêtre. 
-Ouvre la fenêtre Claire! Ces branches sont entrain de me tuer, dit l'ombre d'une voix que je reconnaîtrai parmi milles.
- Chris? Mais tes malade! Qu'est ce que tu fous la?
- On pourrai discuter à l'intérieur s'il te plait? 
- Tu sais très bien que tu es interdit d'approcher ma maison, tu doit être à une distance de 20 mètre et au cas ou tu ne l'aurai pas remarquer tu ne respecte pas cette consigne!
- Tu me déçois! Je n'arrive pas a croire que tu as laissé le juge et ton père, alias ton avocat,m'imposer cette règle débile!
-Si tu n'avais pas jouer au débile mon père ne t'aurai pas poursuivi en justice. Malgré cela je t'ai donné une autre chance, mais monsieur à quand même trouvé le moyen de tout gâcher en m'abandonnant avec un homme mort dans un lit!
Il ne disait plus rien ; il me regardait. Si j'étais à sa place moi aussi je n'aurai rien dit, car lorsque tu as tort vaut mieux ne rien dire. Le silence devenait insupportable, nous nous regardions  avec intensité. Le vent était si fort et si froid que je n'avais qu'une envie : fermer la fenêtre. Son regard me suppliait de le laisser entrer. Je finis par craquer.

-Entre, mais ne fait pas de bruit, dis-je en roulant des yeux.
-Il était temps j'ai cru que tu allais me laisser pourrir là!
-Quel genre de milliardaire de 20 ans qui dirige un grande société criminelle, grimpe un arbre au millieu de la nuit pour voir sa cop... Son ex-copine?
-Le genre qui est follement amoureux d'une millionnaire et rebelle de 17 ans.
-Dit moi ce que tu veux et va t'en, ma voix était rempli d'assurance.
-Je te veux...
-Sors et vite avant que j'appelle la police!
-Ok c'est bon je sors, mais on se verra au gala, dit-il avant de sortir par ou il est entré.
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Voilà pour le chapitre 3! J'essaye toujours d'en faire des plus long, mais je manque de temps. J'ai un problème d'internet, mais je fais de mon mieux pour essayer de poster. 

*Désoler pour les fautes!*

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Le cœur pauvre d'une fille richeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant