Le passé

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Chapitre 7

Un moment d'inattention et hop ! Je m'échappai de son emprise. Arrivée en bas, je pris de la farine et attendit qu'il descende pour lui lancer dessus. Ni une ni deux, c'est fini en bataille de nourriture. J'avais rigoler comme une folle.

***

J'allais à la salle de bain me laver mais c'est sans compter sur Clément le con, puisqu'il décida de se laver avec moi, en même temps. On était cependant en sous-vêtements, allez pas imaginer des trucs hein, bande de perverses !

En même temps, être avec un canon dans une baignoire c'est pas tout les jours hein ! Cria Conscience qui s'était changé et avait mit ses plus beaux sous-vêtements. Rouge, en dentelle, transparent. Je ne vous dit pas à quoi elle ressemblait.

Si tu veux pas de lui, moi je veux en profiter hein. Et puis, y'a que toi qui laisse échapper un beau gosse comme ça. Dit Conscience pendant qu'elle se trémoussait...

Pendant qu'on se douchait j'en profitais pour lui mettre du shampoing partout. À chaque fois qu'il se lavait, j'en remettais. Et c'est fini en bataille de shampoing et d'eau.

***

Il était midi et on décida de manger de la purée. Tiens ça me rappelle des souvenirs ça, ahah. Et si ... Je lui faisais le même coup ? Nan aller, on vient de se laver.

_

Après avoir déjeuner, je montai dans ma chambre le préparer. J'étais en train de chauffer le lisseur quand je vis Clément se coiffer les cheveux à la va-vite. Il mit une tonne de déodorant, ce qui me fit tousser et lui rigoler, et m'en mit aussi. Il me laissa tranquille, me lisser les cheveux, mais restait tout de même à me fixer, le voyant dans le miroir.

« Arrête de me regarder, tu me stresse làààààà !

-Tant que ça ? Dit-il en s'approchant encore plus de moi,

-Gneeeee, dis-je en lui tirant la langue, maintenant je sens le mec, mais j'avoue que ça sent bon !

-Donc tu dis que je sens bon ?

-J'ai dit le déodorant, pas toi. Nuance ! »

Il sourit et prit le lisseur puis commença à me lisser les cheveux.

« Arrête de me regarder tu me stresse làaaaaaaa ! Dit-il en m'imitant. »

Je pouffai de rire et lui aussi. Il me fixa et je fis de même, mais j'étais mal à l'aise sentant une certaine intensité entre nous. Je me raclai la gorge et descendis mettant fin à cette « tension sexuelle », si on peut appeler ça comme ça.

Une fois fini, on prit la route pour le lycée et on avait le même cours. On arriva et, il s'installa à côté de moi.

Le professeur arriva, on avait français avec madame Label. Elle nous expliqua qu'on avait un nouveau projet à faire qui était de lire un livre attribué et de le décrire etcétéra. On devait être en binôme et devinez avec qui ? Avec notre camarade ! Pourquoi pourquoi pourquoi est-ce qui s'est mît à côté de moi. Ô diable, qu'avais-je fais pour mériter ça ? Alors que moi je faisais la gueule, ce qui ce voyait à l'autre bout du monde, au Japon ou en Australie, on s'en fiche, mon camarade, au contraire était ravi. SUPER !

« Bon bah, je crois que je vais déménager chez toi ! Dit-il, sourire colgate.

-Ce soir t'es libre ? Y'a pas mes parents, ils sont en voyage.

-Est-ce une invitation ?

-T'es pas possible. Je rêve !

-Tu dors ? Non, donc tu ne rêves pas.

BadOù les histoires vivent. Découvrez maintenant