Partie 10:
PDV Marjène
Nous cherchions Farah, elle avait disparue. Elle avait enfilé les vêtements que l'on avait apporté. Mais où serait-elle allée ? Sans aucune nouvelle ?
Je la retrouva, à l'entrée de l'hôpital, face à un jeune homme, typé asiatique, une peau blanche comparable aux nuages qui couvraient le ciel bleu. Il était grand, très grand, comparé à elle. Je tourna la tête un instant, et il avait disparus. Comment pouvez-t-il disparaître en quelques fractions de secondes ? Etait-t-il un sorcier ? Un magicien ? Un illusionniste ? Ou était-il seulement rapide, extrêmement rapide ?
Après quelques minutes, je m'avance vers Farah. Je l'informa que nous l'a cherchions depuis un bout de temps. Elle ne répondît pas, elle ne bougeait même pas. Elle avait l'air coupée de ce monde, ce monde d'où je lui parlais. Rien ne l'atteignait, elle était dans ses pensées. A cause de cet homme ? Sûrement.
Nous nous dirigeons vers la chambre qu'elle avait quitté. Aucun mot ne sortait de sa bouche, elle me suivait juste silencieusement. Elle était sûrement encore dans ses pensées. Il a dû sûrement l'avoir perturbé.
Le temps passe, Farah parle peu, et est encore dans ses pensées. Il a du se passer quelques choses avec ce garçon ou bien autre. Ou peut-être qu'il n'y aucun rapport avec ça, que je m'imagine sûrement des choses. Elle peut, peut-être penser à quelques choses d'autres. Je cessa de penser à toutes ces choses quand mon frère me coupa.
Il me regardait fixement, mais je lui souris simplement. Il leva son sourcil, mais retourna à ses occupations, c'est-à-dire sur son portable.
Farah était assise, sur le bord du lit. Ses écouteurs étaient branchés, on pouvait entendre ce qu'elle écoutait. Elle écoutait une chanson d'un de ces groupes préférés, un groupe de garçon sud-coréens. Je ne serais dire lequel, mais je sais seulement qu'elle écoute ce style de musique. La chanson à l'air plutôt planante. On pouvait affirmer, dans cette situation qu'elle était réellement débranchée de ce monde. Qu'elle était dans le monde qu'elle avait créé.
Toutes les procédures pour sa sortie furent terminées. Elle pouvait rejoindre son chez-soi. Elle voulait marcher, pour prendre l'air. Elle ne voulait pas monter dans la voiture, une marche lui ferai sûrement du bien. J'aurai voulu l'accompagner, mais j'ai senti qu'elle aurai voulu être seule, la solitude, elle n'en avait pas peur, pas comme moi. La solitude, ce simple mot, me fait peut, j'ai peur qu'un jour je me retrouve seule, seule contre tous. Farah, elle, elle ne ressentait aucune peur, aucune crainte face à ce mot. Elle affirmait même qu'elle avait l'habitude d'être abandonnée, que si elle se retrouve seule se ne serai pas la première fois et sûrement pas la dernière. Je l'admirais, je l'admire, et je l'admirerai encore...
Vous en avez pensez quoi ? La prochaine partie arrive bientôt.
J'espère qu'il vous aura plût sinon, prenez soin de vous mes belles ❤️cœur sur vous ✌🏻❤️
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« MUSE » en Réécriture
Ficción GeneralHistoire fictive Le titre est également modifié. La réécriture fera sûrement presque tout changer, peut-être même le kidnapping ...