Chapitre 5: Changement de situation .

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-ZAAACK VIENT VITE !

- Quoi que ce qu'il y a, est-il arrivé quelque chose a Coraline ?

- non, pas exactement. Dit la fille en me regardant.

Mon frère entra dans la chambre, puis posa ces yeux sur moi, une expression de surprise se lisait dans son visage et des larmes perlées déjà les coins de ses yeux, il s'agenouille devant moi et pris ma main entre ses doigts.

- J'arrive pas à croire.

- Que ce qui se passe. J'arrive à pêne a articulé.

- Il se passe que tu m'as manqué tigresse, j'avais tellement peur de te perdre et ça m'a rendis dingue ce dernier mois.

- Je ne comprends pas ...

- Tu as sombré dans un coma pendant un peu près un mois et demi.

-Non, c'est impossible.

-Je crains bien que oui.

-Comment ça... Comment c'est arrive,

Il me tendit alors un journal, je l'attrape : " NEW YORK TIME , le 2 août 2015"

C'est impossible.

-Où suis-je ?

-Je pense que je vais vous laisser, je vais faire quelque course, je reviens plus tard.

La brune sort sans un mot de plus, Zack se leva et s'assit sur le bort de mon lit, je me redressai.

-Caroline, qu'elle la dernière chose dont tu te souviens.

"Respire .... " Et puis un blanc.

L'hôpital, papa ...

- Oh mon dieu, je n'arrive pas à le croire, je levais ma main à ma bouche.

-Calme-toi d'accord. Bon, ça s'est un bon début, je pense...

Il se lève passe par le cadre de la porte, et revient quelque seconde plu tard un vert d'eau a la main, il traverse la chambre jusqu'à ma table de chevet et prend l'un des médicaments puis me le tend.

-Prend ça, ça t'aidera à reprendre tes souffles et te calmera un peu. J'exécute ces ordres, et j'avale tout avec une gorgée d'eau, il se rassoit près de moi.

-Où étions-nous, ah oui, alors quand tu as eu ta crise de panique à l'hôpital, on t'a injecté une dose de calmant pour te reposer mes, tu ne t'as plus réveillé, le docteur me disait que tu as eu un gros choc et que ça dus te mettre en comas, bien sûr, je ne l'ai pas crue, je l'ai même menacé de le poursuivre en justice s'il t'arrive quelque chose, j'ai téléphoné a quelque un de mes professeurs pour leur demander de l'aide, ils m'ont proposé de t'amener ici pour poursuivre ton cas de plus près, sauf qu'une fois ici, ils ont affirmé les paroles du docteur du Michigan, que tu étais en comas, est que je devais attendre que tu te réveille.

-et papa ? J'ai réussi a dire sous le choc

-bah papa et papa quoi, deux ou trois visites a l'hôpital, et quelque coup de fil parfois ici, mais ça devient rare ses derniers temps.

-alors pourquoi, on est reste ici, je veux dire a New York

-on m'a proposé un poste ici a l'hôpital Mount Sinai, oh! on arrête l'interrogatoire-là, tu veux bien, tu m'as manqué et puis c'est moi le docteur ici et je dois voir si tu vas bien, essai de te lever pour voir.

#BreatheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant