2 heures, voilà 2 h heures que je marche sans destination précise, je ne sais pas vraiment quoi ressentir à cet instant, je ne sais ni quoi faire, ni comment je suis arrivé là.
2 h heures ou le seul son que j'entends et celui qui résonne dans ma tête, essayant par tous les moyens de me créer un chemin entre les idées qui me torture et mon esprit qui m'ordonne de retourner chez moi pour me reposer. De fuir mon présent, et juste oublier les deux deniers heure de ma vie pour un bout de temps, juste le temps de traiter l'image qui est toujours collé devant mes yeux. tout mon plan c'est échouée , tout mes rêve détruit ...
j'ai envoyé un message à Zack pour lui dire que je vais sortir avec des amies, je ne voulais voir personne, la vérité, c'est que je ne suis pas encore près à accepter une telle chose, je ne l'ai jamais été, et je ne le pourrais jamais l'être, j'ai tout sacrifié pour crée les chance de ce nouveau départ. et j'ai tout perdu .
J'essayais de ne pas pensée a ou je vais, tant que je n'ai pas trouvé le temps d'entendre mes propres pensées, les plus silencieuses entre eux.
La fatigue commença à m'envahir et le doux air de soir a geler mes poumon, j'ai donc arrêté ma lutte contre mon esprit et accepter de revenir chez moi .
Un bruit de musique raisonne tout près, surprise, je me demandais ou je me trouve, vu les luxueuses maisons qui m'entourer, c'est loi de chez moi, il y a personne dans les alentours , sans perdre plus de temps, je décidais de suivre le sans, espèrent trouver la-bas quelqu'un pour m'aider, ou tout simplement devinais mon chemin de retour, jusqu'à présent je ne suis pas prête à penser aux circonstances.
On passant d'abord par le jardin d'une maison bâti tout en vitre qui me séparé de ma destination, glissant ma main aux creux du poignée de la porte en fer forger situant de le jardin de la maison voisine, La sensation que quelqu'un me surprend par-derrière accélère les battements de mon cœur, et mes pas de pieds avec.
aux bouts de quelque seconde, je me retrouvais sur le seuil d'une maison bourré de jeune sentant l'alcool, et bouger avec le rythme de la musique, je me suis soudain souvenu de la soirée à la fraternité.
je décidée de chercher Eli, elle sera sûrement là, je suivis mes pas qui me guida au salon puis a quelque chambre a l'étage et enfin a une sorte de cuisine, Eli était nul part, ça ne rester plus que le jardin, je prendrai bien un verre d'eau avant de continuer ma recherche.
J'entends le rire d'Eli approcher, mélanger avec la vois grave d'Eric, l'envie de fuir "mes amies " me parcourt l'esprit et je dispersais là, dans la cuisine derrière l'un des placards et loin de leur regard, j'entendu leur pas tous juste derrière moi, je ne voulais rien d'autre que me blottir contre les épaules réconfortante de ma meilleure amie, mais tant qu'elle n'est pas seule, je préfère rester à l'écart .
-Tu es sûr ?
-Puis ce que je te le dis.
- tu crois que personne ne t'a vue ?
- non ne t'inquiète pas, il faut juste que ça soit le bon numéro.
- oui, c'est bien le mien
- alors là ma petite Eli, tu es tombé sur le jackpot.
De quoi il parle !
Éric continue :
- j'ai changé les numéros comme tu me la demander, est c'était plutôt facile, surtout que cornaline est sortie avant l'heure, je me suis levé juste après, et j'ai remplacé son numéro par le tien son même que le professeur s'aperçoit de quelque chose.
Oh mon dieu, dis-moi que je rêve.
- bien jouer, je te dois bien une.
- tu sais très bien ce que j'attends de toi Eli, tu sais que je ne peux pas trouve mieux que toi.
- non Éric, on ne couchera pas. Pas aujourd'hui, je ne suis pas d'humeur, quand je pense que j'ai passé tout âpres midi hier avec elle, elle est si naïve.
J'étais là, à entendre la personne on qui j'ai eu confiance , parler de ma naïveté comme si c'était la dernière chose qui le préoccuper, leurs paroles brûler mes oreilles, et les mots résonnes comme des lords rochers dans ma tête, je me mobilisais un peu plus bas pour qu'ils ne me retrouvent pas dans ma petite cachetée.
- tu sais aujourd'hui, j'ai pensé à l'appeler, a tout lui raconter et à lui demander mes excuses, elle oublierait surement tous dans une semaine ou deux si je le fais , mais j'ai chassé cette pensée de ma tête, elle ne pourra jamais le savoir,il croira que c'est une faute , t'a intérêt a ne rien dire à personne !
- tu crois que je suis aussi con que ça
- elle a tellement confiance en moi que je pourrais planter un couteau dans son dos sans qu'elle s'en aperçoive.
Le rire d'Eric me transperça, je vais craquer.
-ça fait du bien de savoir que je ne verrai plus son visage pendant tout l'été
Je me relever d'un banc priant qu'il son tellement concentrer dans leur discussion pour ne pas me voir traverser la pièce, enfin, je l'espère, je commençais a marcher, mes jambes pesaient lourd, mais je devais absolument sortir de cet endroit avant d'entendre un autre mot.
-caroline ?
Merde.
-Caroline attend ce n'ai pas ce que tu crois !
Je m'arrêter, mais je n'avais pas la force de me retourner pour lui hurler toutes les pensées dans ma tête. Mes yeux sur le sol, les joues roses la bouche entrouverte, j'entendais ses talons claque sur le parquet, mais seul le contacte de ça main avec ma peau me remis à la réalité, je devais absolument fuir, encore .
Je fonçais dans une silhouette dure, mais de peur de retrouver un autre regard d'amusement, je commençais à courir.
j'espérais être invisible, que rien ni personne ne me fais attention à cet instant, j'espérais que j'aille juste le temps de sortir avant que quelqu'un d'autre prononce mon nom, mais apparemment, je devenu le centre des regards de chaque espace dans cette maison, la musique s'arrêta, les gens me dévisageais et je mordait ma lèvre intérieur pour ne pas craqué.
Arriver à la porte d'entrer la voie d'Eli devient de plus en plus près et j'accélère.
Un instant, j'entendais des hurlements, des cries un frein et puis le flou.
Oh mon Dieu, ne me dit rien, laissez moi le temps de tout imaginer...
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Une petite photo de Caroline en média .
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#Breathe
Romance"Tout a basculé en vingt-quatre heures. Et moi ? Je respirais à peine. " Quand Caroline a vu son seul espoir partir en fumée devant elle, plus rien n'a plus d'importance à ses yeux. Sauf que le destin lui a choisi une autre tournée. Lui prouvant que...