Cela fait quelques temps que la Meute n'a plus été confronté à toutes sortes de phénomènes paranormaux et autres créatures mystiques.
C'était sans compter les enquêtes d'un certain brun hyperactif et du retour inatendu d'une certaine créature...
___...
[NDA : La musique ci-dessus est à activer au moment indiqué dans l'histoire. Bonne lecture!]
Point de vue : Stiles
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[Stiles :
Rejoins-moi à l'hôpital aussi vite que tu puisses. Demande la chambre du Coach à ta maman.]
[Scott :
T'as fais faire une crise cardiaque au Coach???]
[Scott :
J'arrive 🚶🚶🚶 !!]
[Stiles :
C'est un peu plus compliqué qu'une crise cardiaque en faite :/... Je t'explique dès que t'es là.]
***
Le message est à peine envoyé que l'on toque à la porte.
- Bordel, Scott ! Grondais-je en ouvrant la porte. J'épuise mon crédit en t'envoyant un sms et toi tu respectes rien quand tu arrives en deux min-... Oh.. bonjour Madame Martin.
- Bonjour Stiles. Je viens d'apprendre pour Bobby, me dit-elle en regardant derrière moi. Je suis venue lui ramener un bouquet de rétablissement.
Je m'écarte pour la laisser passer, en me demandant tout de même comment elle a pu se procurer un bouquet à une heure aussi tardive.
Mon attention se reporte de l'autre côté de la porte lorsque je sens une main sur mon bras. La main, parfaitement manucurée au passage, n'est autre que celle de la fille de la professeur de biologie. Celle de Lydia.
Elle me sourit poliment et je réponds avec un petit sourire préoccupé.
En jetant un coup d'œil rapide dans la chambre, on peut voir que sa mère est au chevet du Coach, lui faisant passer un interrogatoire digne d'une série policière.
Est-elle de mèche avec mon père ?
Une pression sur mon avant-bras me fait revenir à la réalité. Lydia tire sur la manche de mon sweat-shirt sans ménagement.
Si tu le déformes, paye m'en un autre !
Mais quand mes yeux se posent sur son visage, je retire tout de suite cette pensée de ma cervelle. Elle a l'air soucieuse. Vous étiez au courant qu'une Banshee soucieuse, ce n'est jamais bon ? Eh bah maintenant vous le savez au moins.
En faisant un léger mouvement de tête vers la gauche, je comprends qu'elle veuilles qu'on s'isolent. Elle n'a toujours pas lâché ma manche et elle a l'air de se cramponner à celle-ci. Son expression fait démarrer les turbines de mon cerveau, bip...bip...bip... BROOW. J'ai l'impression que ma tête vient d'être élu comme était le nouveau circuit d'un des jeux de Mario Kart.
