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-- Chapitre 16, rencontre --

-- Chapitre 16, rencontre--

- Surveille bien Daisy, dit Théo. Si, comme tu as dit, les caméras qui ont été piratés sont au deuxième, il faut faire attention à ce que Daisy ne fasse pas connaissance avec notre chère Alexis.
~ Je veillerai sur elle, dit-il.

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Émile continuait a courir. Son seul but était de trouver quelqu'un. Peut importe qui, car il devait parler de cette "découverte" a quelqu'un.

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Alors que je continuais mon chemin dans le noir au deuxième étage, j'entendis un bruit. Le bruit de quelque chose d'électronique.

Je me retourna vers la source, mais a cause de la noirceur, je ne pouvais rien y voir.

Je commença a entendre des bruits de pats avancer vers moi. Les pats étaient calme.

- On peut enfin faire connaissance, entendis je.

Je vis une silhouette et enfin, la personne. Je reconnu la personne: l'homme mystérieux dans mon rêve. Il était pareille: cheveux noirs ébouriffés et des yeux quasi noirs. Ses vêtements étaient salles, froissées, égratignés... En fait, comme s'il sortait d'une bagarre.

- Je me présente: Alexis. Dit-il en tendant la main.

Je ne tendit pas la mienne en revanche.

- Ma chère Daisy. Ne sais tu pas qui je suis ? Ah! Que je suis bête, tu as perdu la mémoire. En disant cela, il avait un sourire presque démoniaque.

Il avait quelque chose derrière la tête. Comment est-il entré ? Comment sait-il mon nom... Il le savait aussi dans mon rêve.

- Rien a dire sur ma présence ? Dit-il.
- Ce n'ai pas ce que j'ai dis. La caméra, c'est toi ? Demandais je.

Il sortit un fusil de sa poche. J'essaya de ne pas paniquer ni de paraître paniqué.

Il tourna le fusil autour de son doigt. Il avait l'air de bien savoir manipuler les fusils a petites taille, comme celui la.

- Daisy, Daisy... C'est moi qui pose les questions ici. Ou es Sébastien ? Demanda t-il.
- Crois tu que je vais te le site ? Demandais je avec un sourire espiègle que j'avais de la misère à garder à cause de la peur qui rôdait en moi.

Il s'avança vers moi et mît le fusil pointé en dessous de mon menton.

- Je ne serai pas patient avec toi. Dit-il. Tu me le dis ou je tire.

Je repris mon sourire.

- Si tu tires, tu ne trouvera jamais Sébastien. Dis je. Mais, je ne sais pas ou es ce qu'il ait.
- Tu pourra toujours me servir d'otage si...

Avant qu'il puisse finir je lui fille une jambette au tibia. Au moment ou il se pencha pour essayer d'enlever la douleur je courra le plus vite possible. Je descendis les escaliers avec misère et courra le long de couloir espérant trouver une classe ou me réfugier.

Je croisa Émile qui courait lui aussi dans la direction opposée. Je m'arrêta et prit sa manche de chandail pour ensuite continuer à courir.

- Il faut se cacher, dis je.

Il ne posa pas de questions car il comprit que quelque chose s'était passé.

- Suis moi, dit-il en courant devant moi.

Après quelques minutes, nous étions dans la bibliothèque. Il ferma la porte et me montra l'endroit que nous allions nous cacher. C'était en dessous d'une table, en arrière de plusieurs chaises.

- Tu peux m'expliquer... -il prit son souffle- pourquoi nous sommes en train de nous cacher, me demanda Émile.
- Alexis... Chuchotais je. Je ne sais pas si tu as une idée de qui c'est, mais il ma pointé un fusil en me demandant de le guider vers Sébastien.

Émile regarda ailleurs.

- Il paraît que ton père, en essayant de détruire Tech, il a été allié avec Alexis. Il était le meilleur gars en informatique qu'il pouvait avoir. Et... Alexis a voulu posséder le virus a lui seul donc il s'est retourné contre ton père et lui a tiré une balle dans l'épaule gauche. Après, on de la plus jamais revu. Ici, à la bibliothèque, j'ai trouvé le journal d'un incident grave qui a eu lieux le 10 janvier.

10 janvier .

- Il y avait pleins de roses blanches faites en craies. C'est disons le signe d'Alexis. Finit Émile.
- Attend... Le 10 janvier ?
- L'explosion d'un secteur d'aéroport. Mon frère et mort à cause d'une personne.

Dire que son frère est mort à cause de moi...

- Mes parents aussi sont morts à cet aéroport... Le 10 janvier. Dis je.

Il fit surprit.

- J'espère que la personne qui a fait ça payera... J'espère, dit Émile.
- Désolé...

Il mérite de savoir la vérité, mais pas maintenant...

- Pas de quoi être désolé, ce n'ai pas toi qui a causé cet accident, dit-il.
- ... Au moins, mentis je. Au moins...

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Désolée... Je n'ai rien de plus ni de moins à dire. ^^'