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Je me retrouvais entre ses jambes, je baissais son jean et caresser sa cuisse, remontant le long de sa jambe tandis que mes lèvres se perdait dans son cou. Ses doigts étaient glissés dans mes boucles alors que je remontais mes baisers le long de son épiderme jusqu'à sa mâchoire pour enfin retrouver ses douces lèvres. Ses mains glissèrent le long de mon dos jusqu'au bas de mon tee-shirt.

Nos lèvres se séparent et je le regardais quelques instants, son regard m'électrisa. Il se mordit doucement la lèvre inférieure en agrippant l'ourlet de mon tee-shirt. Ce dernier remonta au dessus de ma tête et Louis me fixa longuement, son index effleurant les quelques tatouages sur mon torse.

J'écrasais à nouveaux mes lèvres contre les siennes tandis que j'attrapais à mon tour son haut pour le lui retirer, dénudant son torse.

Je déposais quelques baisers jusqu'à sa clavicule, mes mains redescendaient son jean jusqu'à ses chevilles et il s'en débarrassa à l'aide de ses pieds, je caressais délicatement la peau douce de ses jambes alors qu'il agrippait à nouveau ma nuque, me tenant contre lui, me consument.

La chaleur dans la voiture pesait de plus en plus tendis que les gouttes d'eau venaient s'écraser contre les vitres, claquant encore et encore.

Je me séparais de lui rapidement après avoir déposer un baiser au creux de son cou et attrapais la boucle de ma ceinture entre mes doigts. Mon pantalon et mon boxer descendirent en même temps et je m'en débarrassais un peut plus difficilement.

Mon corps épousait à nouveau le sien, ses mains glissant le long de mon torse alors que mes lèvres reprenaient place dans son cou. J'attrapais son boxer, le glissant le long de ses cuisses puis jusqu'à ses pieds. Je plongeais ma main dans la poche de mon jean, cherchant l'emballage argenté.

Je le déchirait et enfilait le condom avant de poser mes lèvres sur celles de Louis, avec encore plus de désir et de dévotion.

Je glissais en lui, après l'avoir préparer à me recevoir, en prenant appui d'une main sur le bord du siège. Il échappa un petit son étouffé dans notre baiser et tira doucement sur mes cheveux. Nos poitrines se collèrent, sa peau rencontrant la mienne et ses jambes s'enroulèrent autour de mes hanches. Ses gémissements s'étouffaient dans notre baiser fougueux alors que je me mouvais lentement en lui.

- Harry .... Plus vite. Gémi-t-il en tirant doucement sur mes cheveux.

J'accélérais mes mouvements en lui, sa tête se rejetant vers l'arrière alors qu'il tenait toujours ma nuque. Je mordillais doucement la peau de son cou, la pinçant entre mes dents.

Ses gémissements, de plus en plus fort à mesure que je bougeais en lui se mélangeaient au bruit des gouttes contre les parois de la voiture et de nos respirations déréglées. Mes lèvres retrouvant de nouveau les siennes, canalisant ses gémissements. Ma langue bataillait incroyablement la sienne avec ardeur.

Je continuais les vas et viens rapides en lui, sa tête roulant à nouveau vers l'arrière alors que mes lèvres se baladaient à nouveau dans son cou, suçotant doucement sa peau.

Je posais ma main contre la vitre refroidit à cause de la buée extérieure pour pouvoir aller plus loin encore. Les mains de Louis se resserrèrent autour de mes bras et glissèrent dans mon dos, ses yeux fermement clos.

Je mouvais encore, la sentant de plus en plus proche, parsemant son cou de baisers brûlants. Ses mains accrochèrent à nouveau ma nuque, apportant ses lèvres aux miennes.

Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Louis se sente à la limite de la libération. Son dos s'arqua soudainement.

- Ha .... Harry. Bégaya-t-il entre deux baisers.

Ses doigts s'enfonçaient plus sauvagement dans mes cheveux et il geignit, ses parois se resserrant autour de moi puis il explosa.

Je donnais quelques derniers coups butoirs, l'embrassant fiévreusement avant de venir à mon tour, tous mes muscles se tendant subitement.

- Louis... Grognais-je à mon tour avant de sceller nos lèvres ensembles.

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Je fait comme les boys mddrr
Bref dsl de pas avour poster plus,tot mais mon appli beuguer.

Bonne nuit et bonne semaine je fait du 8h-18h demain je pleure mskn

TAXI // version LarryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant