Chapitre six

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Je ne sais pas ce qui m'a poussé à y aller, mais quelque chose m'a tiré à l'église à sept heure le lendemain matin. Je n'avais pas dormi, pas même une seconde. J'étais trop traumatisé. Chaque fois que je fermais mes yeux, je pouvais sentir ses mains enveloppant mes cuisses. Je pouvais sentir son corps contre le miens. La pensée de ses mains m'a de nouveau fait tordre mon estomac.

Je n'allais pas d'habitude à l'église volontairement mais je ne pouvais ignorer les morales de ma mère, qu'elle avait instauré dans ma tête.

J'avais été témoin de quelque chose que je n'aurais pas dût voir. Je n'en avais rien fait. Les événements des quatre derniers mois avait alourdis mon corps et mon âme. Je n'avais rien d'autres à faire qu'en plus me tourner vers la religion. Je croyais en Dieu sans l'ombre d'un doute, je le questionnais juste par moment.

Le vent glacial a mordu mon nez lorsque je marcha en traînant des pieds sur les marches en pierre prudemment. Personne ne semblait être là à la première heure pourtant la porte était ouverte. Je marcha à l'intérieur quand je frotta les poches sous mes yeux. J' espère qu'elles ne sont pas tellement visible.

Je me suis assise sur le dernier banc de l'église vide. Je suppose que je pourrais me mettre n'importe où mais étant près de la porte m'a fait penser que j'avais une sorte d'échappatoire.

Chaque matin pendant les quelques semaines qui suivaient, je suis allée à l'église. Mes parents n'ont pas vraiment remarqué mon absence et s'ils l'ont fait, ils n'ont sûrement pas voulu m'en parler. Il semblerait que ma mère ait été très concerné par l'arrivée de ma petite sœur dans sa maison en France pour sa prestigieuse école, ou était-ce en Allemagne ? C'était l'un de ses pays. Je ne voulais juste ne pas en savoir plus.

Mon frère sera bientôt à la maison aussi. J'enviais la liberté de mon frère. Il n'était plus collé à nos parents ridicule. J'étais jalouse de cela en un sens.

Si je n'avais pas mes parents je serais en Californie, vivant de mes rêves. Je ferai ce que je voudrais. Il y avait une partie de moi qui était un peu effrayé pour avoir ma liberté. J'ai été tellement habitué à être contrôlé que je pense que je ferais quelque chose de fou si j'étais soudainement libre. Bien que j'avais une pointe de doute dans mon esprit, j'étais sûre que le départ de tout le monde était exactement ce que j'avais voulu faire. Je ne pense pas que je pourrais joué cette partie encore plus longtemps.

J'étais une marionnette. Mes parents tiraient les ficelles et je n'avais aucun contrôle.

Je ne pouvais pas être moi, je ne pouvais pas être heureuse, à cause de la façon dont j'ai été forcée de vivre. Si c'était pour ce que j'allais manger pour le déjeuner ou où j'allais vivre, les décisions de ma vie ne venait pas de moi. Même les parties les plus minuscules ont été envahies. On a poussé ma personnalité, mes pensées et mes idées à l'intérieur de moi pour les forcer à ce cacher.

On ne m' a pas permis d'être moi avec mes parents et c'était déjà finis. Ce n'était pas les mêmes quand je ne pouvais pas être moi, ils ne voulaient pas que je sois heureuse. Tout ce que je voulais faire était de profiter de la vie mais au lieu de cela je devais souffrir.

Je n'ai pas prié beaucoup à l'église, j'ai en quelque sorte réfléchi sur le fait que ma vie allait être volé encore une fois. Quand je cherchais l'aide de Dieu, je ne trouvais rien du tout. Je me sentais comme si je parlais à un mur. Je demandais de l'aide, pour des conseils mais on ne m'a rien donné. J'attendais quelque chose, un signe que tout irait bien. Un signe que mon frère et ma sœur soit d'accord quand ils rentreront à la maison, mes parents pourraient être plus favorable et que j'aurais le courage pour prendre le contrôle sur ma vie. Je cherchais désespérément aussi d'échapper au monstre qu'était Zayn. Il venait pour moi, il me l'avait fait assez comprendre mais je ne savais plus quoi faire.

Misery Business | z.m [vf]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant