Chapitre treize

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Pour toutes réponses , elle m'embrassa.

Je me laissa faire et ne tarda pas à répondre à son baiser.

Elle accrocha ses bras à ma nuques et moi à sa taille.

Je la rapprocha enviée un peu de moi et continua de l'embrasser.

Elle se détacha et me fit un maigre sourire.

- sa répond à ta question ?

Je souris de toutes mes dents et me jeta sur ses lèvres.

Elle sourit contre moi et je lui murmura ;

- je t'aime.

Elle frissonna et le souris de plus belle.

- je t'aime Harry.

Je l'embrasse une nouvelle fois et me détache.

Je la regarde et je ne peux m'empêcher de sourire encore.

- tu es magnifique.

Elle rougit et baissa la tête.

- Arsène ? Ça va ?

Je releva sa tête et la regarda , inquiet.

- oui , c'est juste que .. Pour une fois je le crois.
- que crois-tu ?
- je crois le fait que je suis magnifique car tu me fais me sentir belle Harry.

Je souris et lui caressa tendrement la joue.

Elle sourit et se laissa faire.

Je me détacha et regarda l'heure.

- tu veux manger quoi se soir ?

Demandais-je en la regardant dans les yeux.

- hum .. Je n'en sais rien.

Je réfléchis quelques instants et trouva.

- des pâtes au pesto ?

Elle hocha la tête et je sortis de la chambre.

J'entendis des pas derrière moi et j'en conclu qu'elle m'avait suivi.

Cette pensée me fit sourire et j'arriva dans la cuisine.

Je sortis tout se dont j'avais besoin et la regarda.

Elle semblait perdue.

Je m'approche d'elle , la pris par les haches et la mis sur le plan de travail , à mes côtés.

Elle me sourit et je lui souris en retour.

Je commença à cuisiner et elle me regarda attentivement.

J'eu vite terminer et je servis les pâtes dans deux assiettes.

Je les déposa l'une en face de l'autre sur la table et parti m'asseoir.

Arsène se mît elle aussi à sa place et commença à manger.

- c'est bon ?

Elle hocha vivement la tête et continua son repas.

Quelques temps après nous avions terminer de manger et nous nous étions affaler sur le canapé.

Elle avait posé sa tête sur mon torse et je lui caressais doucement les cheveux.

Elle faisait des formes imaginaires sur ma clavicule et je souris en devinant un cœur.

Elle releva la tête et m'embrassa doucement.

Je me laissa faire en répondant bien évidement à son baiser et elle souffla ;

- je t'aime Harry.
- Je t'aime Arsène.
- jusqu'au étoiles ?
- et même plus loin encore.

Stockholm syndromeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant