Stockholm syndrome

Chapitre trois

Je soupira et regarda par la fenêtre.

Un orage se préparait.

Je frissonna et pris le duvet que je plaça sur mes épaules de sortes à former un " volcan ".

Je m'éloigne le plus possible de la fenêtre et commence à trembler.

J'ai peur des orages.

Si seulement Jay avait été là ... Il m'aurait protéger.

Des séries de flashbacks se faufiles dans mon esprit et je laisse glisser une larme sur ma joue.

- je veux partir ...

Murmurais-je en sanglotant doucement.

- je veux partir !

Criais-je en pleure.

Je sorti de la couverture et courra jusqu'à ma porte

Je l'ouvris et descendis les escaliers en courant.

" la peur peut parfois faire commettre des actes inhumain. "

J'essaye d'ouvrir la porte d'entrée.

" elle peut provoquer un sentiment de frustration et d'insécurité qui va éveiller nos instincts primaires "

Je donne un coup d'épaules dans le bois.

" sous l'effets de la peur nous pouvons être capable de tout. "

J'attrape une chaise et la jette dessus.

" nous voulons nous protéger , coûte que coûte . L'être humain est fait comme sa. "

Je cris de frustration.

" il veut vivre. "

J'essaye encore de toutes mes forces de casser la porte mais rien n'y fait.

- Laissez - moi partir !

Je gratta le bois avec mes ongles jusqu'au sang.

Je donna des coups dans le bois.

Je partis dans la cuisine et chercha un couteau.

J'en trouva un , je l'attrape et me dirige vers la porte.

J'enfonce le métal dans le bois.

L'objet n'a réussi qu'à faire une embrasure.

Je répète l'opération plusieurs fois.

Je lâche le couteau , à bout de forces.

Je donne un dernier coup et tombe , les genoux au sol.

Je garde la tête basse et ma respiration est saccadés.

Je regarde le couteau , un peu  plus loin.

Je tends la main vers l'objet et l'attrape du bout des doigts.

" la peur peu amener à la folie. "

Je le place face à mon abdomen et respire.

- c'est sa que tu veux ?

Criais-je en pleure.

Je ferma les yeux.

- très bien.

Murmurais-je en prenant de l'élan.

- je vous aimes.

Soufflais-je.

Puis soudain , un main se plaça sur mes poignets et une autre m'enlève le couteau des mains.