Chapitre huit

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Malgré moi , je souris et attrape mes couverts.

Je versa le sirop sur les pancakes et commença à les manger.

Je mâcha lentement la nourriture et regardant le mot.

J'haussa les épaules et continua de manger.

Je termina peu de temps après et débarrassa.

Je remonta ensuite dans ma chambre et ouvris l'armoire.

Je vis des carnets.

Des centaines de carnets entasser les uns sur les autres.

Je recula de quelques pas et observa.

- oh mon dieu ..

Murmurais-je dans un souffle.

Je regarda autour de moi et me crispa.

Je suis dans la chambre d'Isaac.

J'entendis l'eau couler à proximité et j'en conclus qu'il prenait sa douche.

Je passa ma main sur mon visage et tourna la tête vers l'armoire.

Je m'approche et tend la main vers les ouvrages.

A se moment - même , l'eau s'éteint et j'entends nettement une porte coulisser.

Je panique et ferme délicatement les portes avant de prendre mes jambes a mon cou.

Je pénétra a l'intérieur de ma chambre , haletante.

Je ferma la porte et m'appuya contre celle-ci.

- je n'ai jamais couru aussi vite de ma vie.

Dis-je avant de tousser.

Je m'assis sur mon lit et réfléchis.

Pourquoi a-t-il autant de carnet ?

Je regarda dans la vide pendant au moins deux bonnes minutes avant de me lever.

C'était quoi sa ?

Je marcha et sortis de ma chambre.

Je regarda à droite puis à gauche et m'avança dans le couloir.

Je colla mon oreille contre la porte de sa chambre et écouta.

Je ferma les yeux et inspira en agrippant la poignée.

Je l'abaissa et pénétra dans la pièce. 

Je déglutis et m'avance vers l'armoire.

Je place mes mains sur les poignées et les tirent contre moi.

Je redécouvre les carnets et j'avance ma main vers le sommet d'une des piles.

J'en attrape un et referme rapidement les portes.

Je sors tout aussi vite de la chambre et pars dans la mienne.

Je traverse le couloir et pousse la porte.

Je rentre en regardant le carnet et me cogne contre quelques choses.

Je relève la tête.

- où quelqu'un.

Il se retourne et je dois lever la tête pour le regarder.

Il m'attrape le carnet encore une fois et resté devant moi.

- tu veux quoi à la fin ?

Me crache-t-il en se penchant légèrement.

J'entrouvre la bouche et le regarde dans les yeux.

Je me plonge dans son regard verdâtre et sans que je puisse m'en rendre compte , je rapproche doucement ma tête de la sienne.

Il ne bouge pas et continue de me regarder , me transperçant toujours plus.

Et sur le moment que je me rends compte qu'il est beau.

Vraiment beau.

Ses cheveux bouclés qui plus est en bataille lui donne un air déstructuré et  rebelle , voir même sauvage.

Il a une mâchoire saillante et des épaules larges.

Je pose mon regard sur ses lèvres.

Elles sont rose pale et pulpeuses.

Et sans plus attendre , je pose mes fines lèvres sur les siennes.

Stockholm syndromeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant