Chapitre 6

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Moi: ... Elliot je sais pas quoi te dire...

Lui: ne dis rien. Je ne m'attendais pas a ce que tu me réponde, parce qu'en fais ça fais quelques jours qu'on se connait et que je croyais que ça allait faire comme avec toutes les autres mais en fait, quand je suis partie, j'ai remarquée que tu me manquais. J'ai remarqué aussi que tu était une fille géniale et que j'ai apprécié mon séjour a l'hôpital grâce a toi... Alice.

Je suis confuse. Mais qu'est-ce que je répond à ça moi? On se connait a peine et c'est sûre que je sens une petite énergie entre nous mais... Je ne sais vraiment pas quoi dire. Ma tête tourne encore. J'ai le vertige et je dois m'agripper a sa main pour ne pas tomber en pleine face dans mon lit. Je le regarde dans les yeux. Il est tellement, tellement trop, tellement tout. Mon cœur se sert. Je suis déboussolée. Il me fait un de ses sourires et c'est en regardant ce sourire qu'un souvenirs me frappe.

" ...: tu es tellement jolie.

Moi: et toi? Tu t'es vu ?

...: ça te dirais de venir avec moi en fin de semaine ? J'ai un party chez de amis.

Moi: bien sûre, je vais te suivre partout où tu iras...

...: on va s'éclater !

*party du samedi soir*

...: on y est !

Moi: y'a des gens... Beaucoup de gens...

...: c'est normal ! Allez bébé viens.

Il m'amène dans la maison qui paraît prête a exploser. On réussi a se faire un petit chemin jusque dans le salon pour parler avec ses amis.

...: je vais chercher quelque chose a boire, tu veux que je t'en amène un??

...: OK!

Je dois crier par dessus la musique tant c'est fort. Il s'en va en me laissant seule avec des inconnus. Comme toujours je me sens petite. Trop petite. Je n'ai rien a faire ici. Je ne me sens pas a ma place. Je me faufile entre les gens qui dansent, ceux qui on des élans passionnés les uns envers les autres et ceux ( en fait celui ) qui vomis presque sur mes pieds pour me rendre a la cuisine. Il y a des tonnes de gens mais pas lui. J'accroche une fille qui m'a l'air sympa et je lui demande où il est. Elle me dit qu'il est a l'étage. Mais qu'est-ce qu'il fou la ? Je monte les marches tranquillement. Je vais voir a la salle de bain ; il n'y est pas. J'ouvre la porte d'une chambre et deux personnes sont la, l'un sur l'autre à se bécoter. Gêner, je prend la poignée et je suis portée a fermer la porte mais j'allume rapidement. Ce mec, c'est lui. Il est là. Ça y es. Il a tout gâcher.

...: Aly ! Attend non ! Tu ne peux pas comprendre...

Je referme la porte, descend les marches en courant et sort de la maison sans aucun problème. J'appelle un taxi en marchant le plus loin de la maison. Une main se referme sur mon bras. Je me retourne vivement.

Moi: QUOI?

Lui: pardon... C'est elle, elle m'a sauter dessus. Je suis désoler Aly, pardonne moi...

Il me prend la main et me regarde dans le blanc des yeux.

Lui: laisse moi une dernière chance...

Un sourire ce dessine sur ses lèvres. Un sourire qui pourrais faire craquer tout le monde... Mais pas moi. Pas encore. Je retire mon bras de son empoigne et je le regarde, les yeux pleins d'eau.

Moi: t'es qu'un sale petit con ! Dégage de ma vu ! Dégage de ma vie et pour toujours !

Je me retourne et le taxi attend sur le coin du trottoir. J'embarque. Le moteur vrombît et je regarde dans le rétroviseur une dernière fois. Il a la bouche entrouverte, scandaliser, voir choqué. C'est fini. Je n'en veux plus.

*le lundi précédent*

"Le professeur: on nous apprends une nouvelle terrible ce matin. Les jeunes, nous savons quand vous faites des fêtes que ça va toujours finir mal. A cause de l'alcool entre autre. Un de nos élève est mort dans un accident de voiture dans la nuit du samedi au matin du dimanche. Gabriel Marchand, secondaire 5. Vous avez peut-être vu aux nouvelles ce matin, mais je tenais a vous en parler pour au moins avoir une petite pensée pour lui." Ça y est c'est finit. Pour de bon. Plus de trahison. Plus de mensonges. Plus de rire. Plus de lui. Plus de rien. Son sourire me reviens en tête..."

Moi: NON ! Je ne peux pas désoler !

Lui: d'accord je comprends...

Moi: pardon... Je ne voulais pas être brusque...

Lui: non ça va j'ai compris... T'inquiète ça va !

Moi: non... Arrête Elliot... Tu mens...

Lui: mai non ! Je t'assure ! ( il me prends dans ses bras et me serre tout contre lui. J'ai un pincement au cœur. ) Je vais y aller mes parents vont venir me chercher un jour...

Moi: tu peux rester...

Lui: non non ça va... J'ai de l'école moi ! Ahaha !

Moi: ahaha ! Okay...

Lui: bon... À plus.

Moi: ouais à plus...

Il se lève et sort de la chambre. Je me sens déchirée. Détruite. Anéantie. Je me sens comme ce lundi matin, le lendemain de l'accident de mon ex petit copain. Je me prends la tête a deux main et les larmes coulent sur mes joues.

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J'essaie de oublier un chapitre par mois juste pour vous !♥

Si tu pouvais rester près de moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant