Donne moi la main

Chapitre 1

J'ouvre lentement les yeux, ma vue et un peu flou, mais je distingue tout de même le salon. Finalement il a compris et ma ramené a l'adresse que je lui est dit. Lorsque ma vue c'est habitué je distingue le salon, ma mère et assis au pied du divans l'air inquiète, mon père lui est dans le cadre de porte les bras croisé, il me regarde frustré. Ma petit soeur, Laura, me regarde de ses petit yeux toujours endormie dans son pyjama rose bonbon, elle serre sa peluche contre son peur corps frêle.

Mon père lui fait signe de monté et elle l'écoute et part dans sa chambre. Ces a se moment que je remarque le garçon qui étais au parc se matin, assis dans la chaise du salon. Je me redresse sur le divans en position assis.

- je....commencais-je mais je m'arrête lorsque les larmes me monte au yeux. Je prend un grand respiration avant de me décide a recommencé.

- désolé, je n'avais pas l'intention de partir tout la nuit.

- TU EN NAVAIS PAS L'INTENTION, ALORS POURQUOI TU LA FAIT CAMILLE. TA MÈRE ET MOI ONT ETAIS INQUIET.

Malgré mes effort un sanglot m'échappe. Je ravale ma salive avant de parlé a nouveau, du moins d'essayer.

- j'ai essayé....je vous le dit j'ai essayé de rentré, dis-je en me mettant a pleuré.

- ALORS POURQUOI NEST TU PAS RENTRÉ.

Je ne dit rien et me met en petite boule sur le divans avant de me mettre a pleuré de plus belle. Ont entend que mes sanglot dans le salon, jusqu'à ce que le bruit de la sonnet retenti dans la maison. Mes parents sorte du salon est bon répondre a la porte, pendant ce temps je reste avec le gars dans le salon. J'avais oublié qu'il étais encore la lui.

- je m'entendais pas a sa, dit-il plutôt bas, il veut sûrement pas que mes parents entendre.

- pas la peine de chuchoté la maison est assez grande il vont rien entendre, repondais-je

- ah, d'accord, c'était quoi sa avec ton père.

-  il étais juste fâché, il avait peur pour moi, de tout facon ce n'est pas de tes affaire et qu'est ce que tu fou encore ici.

- je sais pas, souri t-il, ont ce voie demain.

- hein! Comment sa demain.

- je suis nouveau, je vient de déménagé, tes chanceuse que sa soit le cas, car j'aurais pus faire plein de rumeur sur toi au lycée.

- sa pas l'aire d'être ton genre.

- peut être que si, dis-il en me défiant du regard.

Je le défi a mon tour, je ne lâche pas son regard et je sursaute lorsque mes parents entre dans le salon en compagnie de notre invité que je ne prend même pas la peine de rgardé. Le garçon quitte le salon en me souriant, en y pensant je ne connais même pas son nom. De tout façon il a dit qu'il est nouveau au lycée alors je vais savoir son nom demain sûrement.

Mes parents s'assoient et l'invité fait de même. Ils discute de tout est de rien moi je fait que les regardé, notre invité est un homme de l'âge de mes parents je dirais, il vient déménagé dans le cartier, comme le gars, mais ce n'est pas son père par chance.

L'homme a les cheveux noir bien coiffé et les yeux bleu lagons, je ne sais pas si c'est mon imagination, mais j'ai l'impression qu'il me regarde sans cesse c'est justement pour sa que je ne parle pas, il me rend trop mal a l'aise pour parlé. L'homme n'avais pas encore sourir, mais lorsque mon père sur une de c'est blague qui son habituellement plate, l'homme rie et je reconnais immédiatement cette expression. Il avais la même lorsqu'il me violais, un petit cris m'échappe lorsque je réalise que l'homme qui ma violé est dans ma maison, dans mon salon, a quelque mètre de moi.