Apology

Chapitre 40 : Juliette est la bonne personne pour moi

► JUSTIN BIEBER

J'ai du donner l'impression que j'étais énervé et que je ressentais l'urgence de tuer quelqu'un parce que Juliette le remarqua à la seconde où je montais dans la voiture.

"Est-ce que ça va ?" demandait elle inquiète et confuse.

La mâchoire toujours crispé,j'essayait de contenir ma rage à l'intérieur pour ne pas me lâcher sur elle. Je passa la langue sur ma lèvre inférieure et me tourna vers elle en démarrant la voiture pour quitter l'allée. "ça va."

Du coin de l'oeil je pouvais apercevoir Juliette remuer inconfortablement sur son siège, voulant poser d'autres questions mais elle se mordit la langue sachant que cela m'énerverai.
Sage décision, pensais-je inconsciemment et tournant à l'angle de la rue. Je sentais du venin couler dans mes veines.

Détachant ma main gauche du haut du volant, je fus pris d'une envie soudaine, je me pencha de coter pour attraper l'objet de mon désire dans la boite à gants.

Une fois que j'eu mis la main sur mon paquet de cigarette, je me réinstalla dans mon siège, regardant et le paquet et la route pour m'assurer de ne pas nous provoquer un accident en péchant une cigarette et en sortant mon briquet de ma poche, puis je rangea mon paquet et alluma ma clope.
Je tira une grande latte et laissais l'effet du tabac me calmer et relaxer mes muscles. Je laissa échapper un gémissement décontraction, ça faisait longtemps que je n'avais pas vraiment fumé. J'entrouvrais la fenêtre au moment où je remarqua la fumée dans toute la voiture. Je continuais de conduire.

Juliette me regardait intensément à coté. Ses lèvre étaient retroussés et ses sourcils froncés. Elle me regardait comme si elle était en train de contempler quelque chose.

Fronçant les sourcils à mon tour, je freina à un stop. "Quoi ?" crachai-je

Juliette semblait effrayée par mon explosion soudaine, elle me regardais les yeux écarquillés "Rien..".

"Ne me dis pas de connerie ." murmurai-je, prenant une autre taffe de ma cigarette, je gardais la fumée un moment avant de la laisser ressortir.

"Je ne suis pas--"

"J'ai dis," je répéta une fois de plus d'une voix aigre et sévère  "Ne me dis pas de conneries " mes yeux s'étaient assombrit et s'enfonçaient dans son regard lumineux.

Déglutissant, elle se lécha la lèvre "Je--c'est que--" elle s'arrêta pour me regarder frustrée. "Tu as l'air..-'

"Finis ta phrase, Juliette" J'haussais les épaules en essayant de contrôler le monstre en moi qui ne demandait qu'a sortir.

"Tu as l'air tendu, ok? j'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui ne va pas" dit Juliette d'un seul coup.

Je pressais mes lèvres ensemble, regardant devant moi les nombreuse voiture qui passaient, les nuages se déplaçaient lentement d'où le soleil transpercer le ciel, laissant s'échapper la noirceur au dessus de nous.
L'air était devenu épais presque instantanément quand les souvenir de ce qui s'était passé juste avant de quitter la maison inondaient mon esprit.

* Flashback *

"Ça ne mettra pas beaucoup de temps avant que ta copine cris mon nom en en redemandant." Chuchota Jason d'un ton provocant à mon oreille.

Mes mains se sont aussitôt serré en poings et il me fallut peu de temps pour que j'empoigne son tee-shirt et le cogne contre un mur violemment. "Si j'étais toi, je surveillerai ce que je dis." crachai-je, mon visage à seulement quelque centimètre du sien.