Chapitre 59: C'est stupide

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► JUSTIN BIEBER

J'ai merdé. Encore une fois.

Rien de choquant.

« Pourquoi tu ne peux pas réfléchir avant de parler Bieber ? »

"Je plaisantais! Je ne pensais pas qu'elle allait s'énerver." Je me laissai tomber sur la chaise.

"C'est une fille. Elles n'aiment pas parler de leurs relations sexuelles ... en public. "

Je levai les yeux. "Peu importe mec.."

"Bruce à raison. Même si c'était drôle tu devrait faire attention à ce que tu dis."

"Je le ferai, papa." Je sifflai, lui lançant un regard de mécontentement.

John leva les mains en signe de reddition. "Je dis juste."

"Eh bien, ta gueule."

Haussant les épaules, John se pencha en arrière, finissant sa bouteille de bière avant de le jeter dans la poubelle.

"Yo, tu as plus de ceux-là?"

J'hochais la tête, se penchant derrière lui avec son bras droit, traînant dans la glacière que nous avons à l'extérieur avant d'attraper une bouteille et de me la remettre.

"Merci." J'ai tordu le bouchon avec la main avant de le jeter et soufflant vers le bas la boisson.

Je sentais les yeux des gars sur moi, mais je les ai ignorés. "Ah, c'était rafraîchissant."

John secoua la tête vers moi, sans dire un mot.

"Quoi?" Je lui ai craché, sachant qu'il voulait dire quelque chose.

"Rien."

"C'est ce que je pensais." Je grogna.

« C'est pas parce que t'es un con que tu dois t'en prendre à nous ! » Bruce averti. «J'ai fais ce truc pour que vous puissiez vous réunir et célébrer le fait que la police ne vous ai pas eu. Je ne veux pas de drame ou comportement grossier. »

Je serre mes poings, ma mâchoire serrée elle aussi.

Remarquant cela, Bruce secoua la tête, se retourna pour terminer la cuisson du reste de la nourriture.

Debout, j'ai poussé la chaise sur laquelle j'étais assis à l'arrière, le métal des jambes frotte contre le sol et faisant un grand bruit de crissement.

Je marchais dans la maison, à la recherche de Juliette. «Juliette?"

Pas de réponse.

J'ai froncer les sourcils et je suis monté dans ma chambre où je l'ai trouvée couchée sur le lit, regardant le plafond.

"Juliette?"

Elle n'a rien dit.

Je soupirai. «T'es toujours en colère contre moi?"

Elle murmura. « Tu viens de dire devant tout le monde que tu me donné du plaisir. Est-ce que tu sais à quel point c'est embarrassant ? »

« J'ai pas réfléchis, d'accord? J'avais oublié à quel point les filles étaient secrète sur ce genre de chose. »

Elle se moquait amèrement. "Comment diable est-ce que tu peux oublier?"

«Je ne sais pas, d'accord? J'ai essayé de passer un bon moment ... J'aurais dû y penser deux fois avant d'ouvrir ma bouche.»

"Non, ce que tu dois apprendre, c'est comment arrêter de parler de ton cul et utiliser ton cerveau pour une fois."

Ne voulant pas transformer cela en un argument, je hochai la tête. "Tu as raison."

« Je veux dire, ça ne va pas te tuer" Elle se redressa « Oh attend...qu'est-ce que tu viens de dire ? »

« J'ai dit ... » J'ai marché vers elle et je me suis assis à ses pieds. "Tu as raison. J'aurais du utiliser mon cerveau pour une fois. "

"Où est le piège?"

"Quoi ? Quel piège? "

"Je ne sais pas. T'es d'accord sans riposter. Ca ne se produit pas normalement ... "

Je ris. "Eh bien, je suppose que je suis juste fatigué de me battre avec toi." Penché sur elle, j'ai attrapé sa main, la tirant sur mes genoux. "J'ai failli te perdre, je ne veux pas perdre mon temps avec toi pour de la merde. C'est stupide."

Elle hocha la tête, elle comprenait où je voulais en venir. "Moi non plus."

"Alors crois-moi quand je te dis que je suis désolé. »

« C'est pas que je te crois pas. C'est juste que je déteste quand tu fais ça. Ca gâche l'ambiance. »

Me penchant, je déposais mes lèvres sur les siennes.

M'embrassant en retour, elle me tira plus près que possible.

La seconde ou j'ai commencé à l'embrasser dans le cou, elle m'a arrêté « Justin, » elle pressait ses mains contre ma poitrine. « Arrête. »

« Pourquoi pas ? » Je murmurais à bout de souffle.

Elle secouait la tête « J'en ai pas envie. »

J'hochais la tête en respectant sa décision « Très bien, allez. » Je la tiré avec moi en me levant du lit.

« Je suis désolé. »

Je secouais la tête « T'as pas à l'être. C'est pas un crime. » Je passais mes bras autour de ses épaules pour l'amener sur mon côté.

Elle souriait en embrassant ma joue « Merci. »

« Pas de problème. Maintenant on peut retourner avec les gars ? »

Elle riait en hochant la tête. « Oui, on peut. »

Prenant sa main dans la mienne, je nous frayais un chemin vers les escaliers.

« Je t'en veux pas, aufaite. » Elle murmurait alors qu'on se dirigeaient vers la terrasse.

Je souriais en la regardant avant de l'embrasser et de m'éloigner.

« Oh, regardez qui sont de retour. » John roucoulait comme un gosse avec un large sourire sur ses lèvres qui nous était adressé « Alors, tout est arrangé ? »

Juliette rougissait en essayant de cacher son visage derrière ses cheveux. Quelques choses qu'elle ne cessé de faire quand elle était embarrassé et qu'elle ne voulait pas qu'on le voit.

« Ta gueule, John. »

Il riait en se penchant en arrière contre sa chaise.

« Je suis content que nos deux tourtereaux sont de retour à leur attitude normales. » Bruce s'avançait vers nous avec un plateau de frites, burgers et steaks dans les mains qu'il posait sur la table « On avaient peur que vous manquiez la nourriture. »

« Je ne manquerais ça pour rien au monde. » Je lançais un clin d'oeil avant d'entouré mes bras autour de la taille de Juliette « T'as faim ? »

Elle hochait la tête « Je meurs de faim. »

« Mangeons alors. »

Alors que tout le monde se calmait, des bruits de talons raisonnait sur le plancher.

Un paire de chaussures à talon rouge faisait leur chemin vers l'extérieur de la maison et je fronçais mes sourcils avant d'apercevoir LA salope arriver.

« Oh, » Kayla fît une mou faussement triste « Vous avez commencé sans moi ? »

Je resserrais ma prise autour de la taille de Juliette et je pouvais sentir dans les yeux brillant de Kayla qu'elle avait préparer quelques choses contre nous et Dieu seul savait ce qu'elle allait faire.

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