Chapitre 57: Libre

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► JUSTIN BIEBER

J'ai presque frappé dans un mur au moment ou les flics sont revenue chez moi pour me dire qu'ils voulaient m'emmenaient dans leur bureau.

Je leur ai tout dit de ce qu'ils devaient savoir et il me contrarie encore plus. Je veux dire, qu'est-ce qu'ils veulent me demander de plus que ce qu'ils m'ont déjà demander. Je leur ai déjà tout dit.

Assis autour de la table, je regardais la télévision avec les gars en attendant que toutes cette histoire soit fini quand j'ai entendu un bruit énorme tapant à la porte.

« Ouvrez Bieber, on sait que vous êtes là ! » La même voix familière que ce matin me réclamait.

Je fronçais des sourcils en signe de confusion avant de me lever et de faire mon chemin jusqu'à la porte. En ouvrant, je les regardait « Ouais ? »

« Suivez-nous, nous avons des questions à vous poser concernant l'assassinat de Johnson Parker. »

« J'ai déjà dit tout ce que j'avais à dire. » Je parlais d'un ton brute, ce qui aggravait mon cas. « Et je ne sais même pas qui est ce putain de Parker Johnson. »

« On peux faire ça de façon simple, ou on peut également vous forcer M. Bieber, à vous de choisir. »

« Ou alors vous le laisser tranquille. » Bruce prit la parole. « Il vous a déjà tout dit. »

« Nous avons juridiquement le droit de l'emmener avec nous. Ca fait partie de notre travail. »

Je grognais en colère. « Ah ouais ? Eh bien vous faite un travail de merde, Jenkins. »

« Je vous suggère de vous calmer et de faire attention à ce que vous dite, Bieber. Je peux vous apporter un tas d'ennuie. »

Sans un autre mot, il prit mes bras, me retournant pour menotter mes poignets derrière mon dos avant de me conduire vers leur voiture à l'extérieur.

Les gars regardaient à la porte ce qu'il se passait.

Il a fallu un certain temps, mais après quelques minutes, nous arrivions devant leur bâtiment. Me tirant par le biceps, ils m'ont fait marcher à l'intérieur et m'ont immédiatement jeté dans une salle d'interrogatoire.

« Pas besoin de me pousser putain, j'ai des jambes, c'est pour une raison. » Je crachais en roulant des yeux pour faire ressortir ma colère.

« Asseyez-vous et fermez votre gueule, Bieber. » Il crachait avant de refermer la porte.

« Putain d'enculé. » Je marmonnais

« Justin ? » Je regardais pour voir Carly assise sur une chaise derrière la table.

Je fût content de savoir qu'elle était là et que je pourrais au moins lui parler avant qu'elle se fasse interroger. La dernière chose dont j'avais besoin, c'était qu'elle soit nerveuse devant Alec.

S'il y'a une chose que je peux respecter chez ce mec, c'est la façon dont il arrive à lire sur les visages des gens et la façon dont il arrive à définir la façon dont ils agissent.

Quand Carly est finalement sortie, je savais qu'elle avait fait un bon travail parce que son visage semblait satisfait. Elle m'envoyait un regard et je ne pouvais pas m'empêcher de sourire à moi-même.

« Justin. »

Je tournais ma tête pour voir Alec debout près de la porte. « Entrez. »

Je me levai, marchant à l'intérieur de la pièce.

Lorsque la porte fût fermé, je regardais Alec. « Qu'est-ce qu'il y'a ? »

« Asseyez-vous. »

Je fît ce qu'il me dit, malgré le fait que je n'en avais vraiment pas envie.

« Dites-moi tout, du début à la fin. Ou étiez-vous la nuit du 11 Novembre ? »

« J'ai déjà tout dit au chauve. Pourquoi est-ce que je dois tout répéter une seconde fois ? C'est juste une perte de temps pour être honnête, putain. »

« Répondez aux questions, Monsieur Bieber. »

Je levai les yeux. Je sais pas pourquoi ils me redemandaient la même chose, peut-être qu'ils espéraient que j'ai changé quelques choses ; mais ce que ces connards n'ont pas compris c'est que je suis un pro quand il s'agit de mentir. « J'étais à une fête, et avant que vous me demandiez, j'ai bu et j'ai dansé. » J'haussais les épaules. « Comme d'habitude. »

Il hochait la tête. « Est-ce que vous avez vu Parker Johnson là-bas ? »

« Non. Comme j'ai dit à l'autre mec, j'étais avec des potes. Je n'ai trainé avec personne d'autre. »

« A quelle heure avez-vous quitté la fête ? »

« Une heure du matin. »

« Est-ce que vous étiez avec quelqu'un ? »

« Ouais, une meuf nommé Carly. »

« Et qu'est-ce que vous avez fait ensemble ? »

Je souriais « Vous voulez vraiment le savoir ? »

Il me regardait fixement, ce qui signifiait clairement que oui.

Je détournais le regard, un sourire étendu sur mes lèvres. « Disons simplement qu'elle n'a pas pu s'arrêter d'hurler mon prénom toute la nuit. »

Alec eu une note mentale sur tout ce que je venais de dire avant de quitter la pièce sans dire un mot.

Je restais assis à l'intérieur, en regard tout autour de moi, sachant qu'ils étaient probablement entrain d'essayer de chercher un truc suspect contre moi.

Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvrit à nouveau et l'officier chauve de plus tôt faisait son entré. « Vous êtes libre de partir. »

Je souriais « C'était agréable de faire des affaires avec vous les mecs. »

Ils ne bougeait pas d'un pouce. Au lieu de ça, ils froncèrent les sourcils en me regardant passer devant eux.

« J'arrive pas à croire qu'on a encore rien trouvé sur ce gosse. C'était l'occasion parfaite. » Un officier marmonnait.

« On doit au moins avouer un truc. Ce gosse sait ce qu'il fait. » Alec murmurait un peu énervé qu'il n'est pas réussi à m'arrêtais.

Je creusé mes mains dans les poches de ma veste tout en sortant du bâtiment, le vent fort fouetter violemment mon corps.

Mais en ce moment même, j'en avais rien à foutre.

Tout ce que je voulais à l'instant, c'était être capable de revoir ma petite-amie, et pouvoir la prendre dans mes bras.

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2eme chapitre que je publie aujourd'hui, je tien a vous remercier nous avons dépasser les 4000 vues c'est juste incroyable !!

Un grand merci à vous qui lisez Aplogy !

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