Apology

Chapitre 74: Mort ?

► JUSTIN BIEBER

"Vous êtes prêt ?" Je me retournais pour faire face au quatre mecs derrière moi, attendant leurs réponses.

Ils hôchèrent la tête, des cagoules couvrant leur visage, les armes dans leur mains pour les tirs qu'ils allaient lancer dans un court instant.
Tout en moi me remplissait et je brûlais d'envie de tuer ce salaud. « Je peux voir l'ombre de ce connard d'ici. Ses hommes sont dans le salon, c'est tout ce que je peux voir de la ou je me trouve. »

Essayant de voir si j'avais assez de balles, je refermais le chargeur. «N'hésitez pas à tirer les gars, une fois sorti du buisson, vous faites ce que vous avez dit. Pas de retenu. Nous devons nous assurer qu'il meurt ce soir.» Je fis une pause, me rappelant de quelque chose. « Les bombes de McCann seront prêtes à temps ? »

« Ouais, il en a fait trois, au cas où les deux premières ne fonctionnent pas. » John s'était occupé des trois petites bombes qui avaient l'air inoffensives mais qui pouvait faire plus de degâts que nous ne pourions jamais l'imaginer.

J'hochais la tête. « Bon, c'est l'heure du show les gars ! » ouvrant la porte, je sortis, laissant le froid de la nuit me frapper en plein visage.

Tenant le flingue près de moi, je me glissais avec les mecs derrière le buisson, juste devant l'entrepôt de Luke.

Cliquant sur la gachette de mon pistolet, je mordais ma lèvre me consentrant sur ma mission. « Prêts ? » Quand ils hôchèrent la tête, je souris. «Faisons tout sauter. » Je riais, plaçant le flingue devant moi, sans penser à autre chose, je tirais à plusieurs reprises, des coups à droite, des coups à gauche, tirant sur tout les accés visible de l'endroit.

Le chaos éclaté et je pouvais voir de là où j'étais que Luke et ses hommes essayaient d'y échapper, essayant de trouver un endroit pour se cacher avant de pouvoir tirer mais il était trop tard. On avaient réussi à les avoir avant qu'ils ne puissent se douter de quoi que ce soit, comme j'avais prévu.

Quand mon pistolet n'eu plus de balles, je me tournais vers John. « Donne moi les bombes. »

John se tourna vers moi, posant son arme et hochant la tête. Il attrapait les bombes et les mit dans ma main.

Debout, je demandais aux gars d'arrêter. « Assez. Laissons les croire qu'on a fini. » Je murmurais dans un souffle avant de marcher dans la nuit où aucun d'entre eux ne seraient en mesure de me voir.

Prenant une des trois bomes, j'attendis une seconde avant d'en jetter une devant la porte, une deuxième à côté de la maison et lançant la troisième de dos, elle me semblait attérir dans la cours arrière.

Retournant vers les mecs, j'attrapais le détonateur de John et n'hésitais pas une seconde avant d'appuyer sur le bouton rouge.

Instantanement, l'entrepôt exploxa, des morceau de feu s'élançait dans les airs. L'impact du coup était si énorme qu'il nous envoyait en arrière.

Toussant, je couvrais mes yeux et ma bouche, une pièce de l'entrpôt tomba devant nous. Restant recroquevillé sur le sol pendant quelques minutes, nous attendons que l'explosion se calme.

Me relevant, je nettoyais la poussière sur mon corps, regardant à nouveau l'endroit, pour voir que tout avait brûlé sauf les verres de leurs tables à l'intérieur, pas un signe de vie.

Je souris à mon chef-d'oeuvre. Sachant que j'avais fait tout ça et que Luke était enfin disparu et qu'il était en dehors du décor, enlevait un poids énorme sur mes épaules.

Je me sentis finalement à l'aise. « Et c'est ce qui arrive quand t'essaye de jouer avec moi ! »
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La trajet de retour en voiture se fit un peu mouvementée, nous avons tous parlés de la façon parfaite et précise de l'explosion de l'entrepôt de Luke.

« Il est finalement mort. » Je secouais la tête, ne croyant pas que tout était enfin fini. « Il était temps que cet enculé soit éliminé. »

« Qu'est-ce que tu vas faire quand les flics vont te poser des questions à ce sujet ? »

J'haussais les épaules. « Ils n'ont aucune preuves que nous ayont fait quoi que ce soit. Nous avons fait exploser l'entrepot en laissant aucune preuve. Ils viendront me demander mais ils n'iront pas très loin. »

Ils hochèrent tous la tête, ils savaient que j'avais raison. Nous arrivons à la maison. Les feux de notre voiture illuminé l'entrée et immédiatement, mon estomac chutait?

John plissa les yeux, regardant plus attentivement. « C'est...? »

Je ne disais rien. Au lieu de ça, je coupais le moteur. « Je reviens tout de suite. » Je murmurais avant d'ouvrir la porte et sortir, sans prendre la peine de la refermer. Une fois au bas de la porte, je soupirais, mettant mes poings dans les poches de mon pantalon noir. «Qu'est-ce que tu fais ici ? »

Juliette leva les yeux, surprise de me voir devant elle. « Bien, bonsoir à toi aussi. » Elle ricana en se moquant, un sourire en coin qui rendait ses lèvres pulpeuses parfaites.