Arès

Chapitre 16

Il s'agenouilla devant moi et dit:

Arès. - Aphrodite, veut tu faire de moi l'homme le plus heureux de la terre en devenant ma femme et ma luna ?

J'en eu le souffle coupé ... Woaw je ne m'attendais pas à ça !!!

Moi - Je ..hum..oh mon dieu! Oui bien sur !

Une étincelle de joie brilla dans ses yeux et il m'embrassa sauvagement en passant ses mains sur le bas de mon dos. Je passais mes mains dans ses cheveux... Ils étaient si doux. Malheureusement nous dûmes nous séparer par manque de souffle.

Je le regardai avec amour et passion. Lui aussi me regardait avec envie.

Je lui proposai d'aller dans la chambre afin de prolonger ce merveilleux moment. Mais là je sentis qu'il bloquait.

Moi - Qu'est-ce qu'il y a ? Tu ne veux pas...

Arès - Non c'est pas ça c'est juste que... pour moi... Rah laisse tomber !

Je ne comprenais pas son comportement... Je pensais qu'il avait envie...

Arès - T'es vierge ?

Si j'étais en train de boire un liquide je l'aurais sûrement recraché...

Moi - Toi au moins tu n'y va pas par quatre chemins ! Et la réponse est oui...

J'étais sûre de rougir. ..

Arès - Alors non ! Jamais !

Il se fiche de moi ? Je crois que l'on s'est fiancé mon gars !

Moi - C'est bon j'ai compris tu ne veux pas faire le "sale boulot". Tu veux que je sois comme toutes les filles que tu as ramené ! Désolé mais je ne suis pas comme ça !

Hors de moi, je partis me calmer en courant dehors. Je marchai tranquillement lorsque j'entendis des bruits de pas en lorsque je voulu me retourner mon corps ne m'obeissais plus et après le trou noir...

Je me réveillai sur un canapé dans une salle noire...

Oh non! Où je suis encore... peut être que je devrais demander de l'aide à... Arès ? ... NON ! Ce gros macho n'a qu'a rester dans son manoir je vais me débrouiller seule...

Ah ma grande surprise je n'était pas attachée mais la pièce où je me trouvais possaidait des barreaux... Nickel manque plus qu'on me torture en altitude et je deviendrais totalement folle !

Je regardai à travers les barreaux afin d'essayer de voir où je me trouvais... je vis plein de gardes armés et parmis eux je reconnu deux visages: zéphyr et gard... whut ?

*Relâche moi tout de suite!*

*Je ne suis pas sur de comprendre.*

*Arrête de faire l'idiot et relâche moi!*

*1) Tu ne me parle pas sur ce ton ! 2) où est tu ?*

*1) Je te parle comme je veux 2) tes gardes sont là alors demande leur !*

*Quoi ? Qui ?*

*Gard et Zéphyr*

*...*

*Arès ?*

*J'arrive. *

*Non. Quoi ?! Attends ! Je ne comprends rien tu es en train de me dire que ce n'est vraiment pas toi qui m'a enfermé ?*

*...*

*Bien merci beaucoup...*

Très bien merci Arès !Vraiment, il n'existe pas d'homme plus têtu que lui ! Bon...pas plus séduisant aussi je vous l'accorde ...

*Merci*

...

Je crois que je vais le tuer. Ouais ça me semblerai être un bon plan.

*Je suis là prépare toi à sortir dans 2 minutes*

*Nooon attends y'a au moins 100 gardes et un Gard (pata pchiiiii).*

*M'en fous on a volé ce qui est à moi*

*Je ne suis pas à toi grand méchant loup !*

*Oh si !*

*Non d'ailleurs je suis vexée je ne viendrai pas avec toi.*

*T'inquiète pas je trouverai un moyen*

J'entendis à ce moment une explosion... Il l'a vraiment fait... Je vois un gros loup noir avec une balafre sur l'œil... Mon grand méchant loup...

Il commença à déchiqueter tout ce qui bouge... Le regarder me fillai la nausée je detournai donc les yeux de l'horrible spectacle qui se déroulai devant ma cellule ... Puis un moment plus rien... plus aucun bruit. Mais je n'osai ni ouvrir les yeux ni bouger de ma position: accroupie, les bras entourant mes genoux repliés et la tête dans mes genoux (Ça s'appelle position fœtale imbécile !).

D'un coup la porte de ma cellule sauta... Je sentai le courant d'air... Je savais qu'il était devant moi et qu'il me regardait. Alors j'ouvris les yeux pour le contempler. Sa beauté égalait à la peur qu'il me procurait. Il était toujours sous sa forme lupine et s'avançait vers moi avec un regard prédateur... Il était maintenant à un mètre de moi et se rapprochait encore... Il aime jouer avec la peur que j'ai pour lui... Son magnifique museau noir était maintenant à côté de mon oreille. Le sang degoulinait de sa gueule pour tomber sur ma jambe.
Il lacha un soupir qui me fit sursauter. Sûrement sa manière de me dire qu'il est rassuré que je sois encore en vie. Mais d'un seul coup il grogna. J'étais terrifiée. Je pense que ça c'est parce que je l'ai provoqué. Il s'allongea sur le sol en se retransformant. Il était couvert de blessures et saignait beaucoup.

Moi - Oh non...Arès...