7. Que des malheurs.

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Du noir, du sang, des cris, la peur régnait dans cette pièce lugubre sans une once de lumière. J’ai peur et je me sens infiniment seule. Que m’arrive-t-il ? Je ne sais pas. Dans la pénombre, je distingue une clenche de porte. Je me lève pour la prendre, quand je fus stoppé par le bruit de mes chaines accrochée à mes poignets ensanglantés. Je perdais espoir. J’allais sombrer dans le néant au moment où la porte s’ouvrit à la volée sur un homme, il s’avança en riant aux éclats ce qui me fit frissonée. Il continuait de se rapprocher mais je ne voyais toujours pas son visage dissimuler par la noirceur des lieux. Après qu’il soit assez proche je vu des yeux jaunes avec une forme de pupilles de chat.

-Le moment est venu, dit-il.

Sa voix était horrible, elle dégageai de la puissance et de la férocité.

-Le moment de quoi ? réussis-je à articulé.

-Le moment de ta mort !

Il posa son doigt sur mon sternum et j’hurla de douleur.

Je me réveille en sursaut. Couverte de sueur après ce cauchemar si réel. Je me lève, nous sommes à l’orée du jour. Pan dort encore et je ne veux pas le réveiller. Je me dirige vers la mer, j’y plonge mes pieds et mes mains. Je me sens tout de suite mieux. J’observe un peu l’endroit et je vois une forêt et l’académie. Je prends Pan dans mes bras en faisant attention à ne pas le laisser tomber et je rentre dans l’école. Je vais vers une sorte d’accueil. Je demande à ce qui a l’air d’être une secrétaire :

-Bonjour pourriez-vous m’indiquez ma chambre s’il vous plait ?

La « secrétaire »  leva le bout du nez auquel pendait de petites lunettes de lecture. Elle avait tout de la secrétaire avec l’uniforme de bibliothécaire.

-Certainement ? répondit-elle avec un faux sourire. Quel est votre nom ?

-Je m’appelle Eleny Blake, dis-je avec le même sourire.

Sa tête se décomposa, pour je ne sais quoi elle commença à se dandiner sur sa chaise. En s’éclaircissant la voix elle prononça :

-Veuillez me suivre je vous prie.

-D’accord, acceptais-je d’un air sceptique.

On s’avança dans un dédale de couloir qui menait à un escalier.

-Monter tout en haut et prenez la porte au fond du couloir.

Elle commençait déjà à partir quand je lui demandais :

-Attendez !

-Oui ?

-Comment je fais pour me situer, et pour les salles de classes ?

-Ne vous inquiétez pas, quelqu’un viendra vous chercher.

Sur ces explications plus que brève, j’entama la montée de ces gigantesques escalier. Entre temps Pan c’était réveiller, il marchait donc à côté de moi. Une fois arrivée en haut j’étais épuisée. Je me dirigeais vers la dernière porte. Il n’y avait pas de serrure. J’allais toquer quand ma main passa à travers de la porte ainsi que mon corps et Panthéron. Je me relevais car j’étais évidement tomber par terre et observait la chambre qui ressemblait plus à un salon + cuisine : il y avait un grand divan couleur taupe en cuir qui était posé juste devant un immense écran plat. Quant à la cuisine elle se trouvait prêt de la porte. J’allais jusqu’à un placard et pris des céréales, je me servais un bol. Après la première bouchée je me rappelais que je n’avais pas mangé hier soir et que j’vais énormément faim. Une fois mon bol terminé, j’explorais un peu la pièce, je m’avança vers une porte. Je l’ouvris et tomba sur une salle de bain assez Grande pour contenir deux personnes, ce qui était étrange car il y avait deux douches. Et une avait l’air d’être utilisée . Il y avait aussi une odeur de parfum d’homme régnait dans la pièce , je connaissais cette odeur mais je ne savais plus de où je l’avait sentie . CE qui est pas normale c’est qu’une fille partage la chambre avec un garçon.

Pourquoi moi ? [ Tome 1 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant