Michael Clifford ➳ Imagines

Dépasser les limites [Part 4]

Tu entends quelqu'un frapper à la porte et te dépêche d'aller ouvrir.

« Oh, hey », tu salue Michael, le laissant entrer. « J'étais sur le point de partir chez toi. »

« Quel coïncidence », rigole Michael. Tu le conduis jusqu'au canapé et t'assieds à ses cotés. Il y a un moment de silence avant que vous deux parliez en même temps, sonnant comme : « Jespdésol surelaisstu albilaen ».

Tu rigoles et regarde tes pieds pour cacher tes joues rougissantes.

« Vas-y », tu murmures.

« Je voulais m'assurer que tu allais bien », dit Michael. « J'aurais probablement dû venir te voir juste après l'incident au café, mais je ne savais pas si tu voudrais me voir. »

« Et bien, je voulait te dire désolée de t'avoir laissé là-bas », tu dit. « Et puis ne pas avoir voulu te parler. Ce n'était vraiment pas juste de ma part. Tu n'avais rien fait de mal. »

« C'est bon », Michael hausse les épaules, te prenant dans ses bras.

« Tu as parlée à- », tu secoue la tête, sachant que ce qu'il allait te demander était sur ton amie.

« Je ne penses pas qu'on se reparlera un jour », tu soupires.

« Je suis désolé », murmure Michael.

« Ne le soit pas », dit-tu. « Elle à toujours été une assez mauvaise amie. »

« Elle perd quelque chose », dit honnêtement Michael, te prenant une fois de plus dans un câlin. Tu hoche la tête contre son torse, voulant croire à ce qu'il dit.

« Michael ? », tu murmure contre sa poitrine.

« Ouais ? », il réponds en te regardant.

« Je – est-ce que je suis une mauvaise amie moi aussi ? », tu essaye de paraître désinvolte, mais tu sais que le tremblement de ta voix trahit ta préoccupation.

« Bien-sur que non », déclare fermement Michael. « Tu est la personne la plus gentille et désintéressée que je connaisse. »

« Tu viens d'inventer ça », tu soupires.

« Peut-être », admet-il. « Mais c'est toujours quelque chose de gentille à dire n'est-ce pas ? », tu rigoles, le regardant et l'embrassant une dizaine de fois.

« Merci », tu dit. « Pour me faire sentir mieux. »

« C'est pour ça que je suis là », affirme Michael, t'embrassant le haut de la tête.

Fin