Chronique de Farah : Kidnappée à cause de mon père.

- Chapitre 6 -

• Chapitre 6 : Ai-je des sentiments? •

"Il part, et ferme la porte derrière lui, je commençais à l'apprécier. Comment se fait-il ? Peut être par ce que j'apprends qu'il à un coeur contrairement à mon père.."

Je me couche dans mon lit et réfléchis. Je m'endors finalement. Je me réveille le lendemain, il était 7h00. Je m'était levée tôt car j'avais dormi très tôt.
Ce matin, j'ai vraiment pris une décision.  Malgré que Fares soit très gentil avec moi, il fallait que je le fasse. Ma famille me manque, entendre les pleurs de ma mère au telephone me rendait folle. Je voulais parler avec mon père aussi. Il me doit des explications.
Donc je vais jeter un coup d'œil dans la chambre de Fares, et je vis qu'il dormait. Yes ! Je me précipite vers la sortie, ça y' est ! Maman, papa, naya, Ines, j'arrive !
Je cours vers la sortie, je suis sortie ! j'y crois pas ! non c'est un rêve ! Je cours encore plus heureuse, jusqu'à que mon rêve prends sa fin. Quelqu'un me rattrape. Je tourne la tête en m'attendant à voir Fares, mais non c'est pas lui. C'est un homme que je ne connaissais pas.

L'homme: C'est toi Farah ! T'as voulu t'échapper du boss?
Je n'ai pas osé répondre, ça y'est c'est ma fin.
Il me ramena chez " Le boss " (Fares)
Fares était réveillée, il avait la mâchoire contractée, il etait énervé.
Dès qu'il me voit , il s'énerve encore plus. Honteuse, je baisse ma tête.
Fares: Qu'est ce qui te plait pas? Qu'est ce que t'aimes pas? Pourquoi tu me fais ça? Pourquoi je t'ai fais confiance ! Ptn qu'elle hmar je suis. J'ai fais confiance à une fille qui se foutait de ma gueule depuis le début. Je t'ai laissé sans fermé la porte à clé, sans t'attaché, et tu me trahit comme sa ?
J'avais honte, il avait perdu ma confiance, il ne me faisait plus confiance, il etait vraiment déçu de moi. J'eu une larme, puis deux, puis trois, puis je fonds en larmes.

Fares: -rire nerveux- En fait c'est moi le hmar dans l'histoire, c'est pas toi. C'est moi qui me suis attaché à une fille comme toi, pensant que tu étais bien, pensant que je pouvais te faire confiance. Mais je suis trompé.

Moi: mais comprends moi Fares, désolé de t'avoir trahie mais comprends que ma famille me manque, je ne suis pas heureuse ici. Je veux revoir ma famille..
Fares: En fait tu cherches la merde ? Je t'ai expliqué 100 fois mon histoire et tu parles ? Si tu pars, je serai rien. Je n'aurai pas venger ma mère, et j'aurai laissé partir la femme de ma vie.

"La femme de ma vie" cette phrase résonna dans ma tête. J'eus des frissons.. Je ne sais pas pourquoi, mais j'etait contente qu'il m'aime vraiment. Je commençais à avoir des sentiments peut être.. Je ne sais pas.. Non c'est impossible. Il reste mon kidnappeur quand même. Je ne dois pas l'aimer.

Moi: Tu ne penses qu'à toi!
Fares: C'est ton pere qui ne penses qu'à lui.
Et là je n'ai pas cherché à répondre. Il avait raison. Totalement raison.
Moi: Fares, désolé.
Fares: Je ne peux plus te faire confiance maintenant.
Moi: Laisse moi une chance, s'il te plaît.
Fares: Non.
Moi: Et je vais dormir à la cave maintenant c'est sa ?
Fares: non.
Moi: Bah ou, vu que tu ne me fais plus confiance?
Fares: Tu resteras dans la chambre que t'as ici, mais je vieillera à fermer à clé.
Moi: D'accord.
Déçue, je vais dans ma chambre et je me mis à pleurer. Ça m'insupportait de voir qu'il a perdu ma confiance, et que je n'ai pas réussi à m'enfuir.
J'allume la télé, je ne fesait même pas attention, je réfléchissait c'est tout. J'avais du regret. Je me disais que si je n'aurai pas essayé de m'en fuir, il sera peut être la à me parler. J'ai foutu la merde !

Lundi soir : 20h00.
Je reste devant la télé quand je vois la porte s'ouvrir. C'était l'homme de tout à l'heure, celui qui m'avait choppée en train de m'enfuir.
L'homme: Salam.
Même si il faut toujours répondre à un Salam, la je ne pouvais pas. C'était à cause de lui tout ça, je ne voulais pas lui parler.
Je fais mine d'être concentré sur la télé.
Lui: Moi c'est Samir, j'suis un pote au boss.
Moi: Tu veux quoi ?
Lui: Rien, juste te parler un peu.
Je vis qu'il ferma la porte à clé et s'approche de moi. Je commence à avoir peur.
Moi: Heu tu fais quoi là ?
Samir: On va s'amuser fait moi confiance.
Moi: SORS !
Samir: Non ma belle, je reste. Allez approche toi de moi.
Il me pris par le bassin, et m'approche vers lui. Je le pousse de toutes mes forces, mais en vain. Il ne bouge pas d'un centimètre.
Moi AAAAAH FARES ! AUSCOURS !
Samir: Fares se lave, n'essaie pas.

Je voulais mourir, je voulais pas me faire violer, je criais de toute mes forces, mais rien.