Chronique de Farah : Kidnappée à cause de mon père.

- Chapitre 5 -

• Chapitre 5 : J'ai parlé avec ma mère, je lui ai parlé.. •

" c'est le mektoub, allah 3lem. "

Dimanche : 10h00.

Je me réveille à cause d'un bruit qui me tracasse ! C'était fares, il était là. Il me fixais quand je dormais, putain la honte.. imaginez j'ai ronflé, ou bien voilà mdr vous avez compris ce que je veux dire. Donc je me lève en sursaut.

Moi : T'ES SERIEUX TOI ? JE DORS ET TU M'OBSERVE ? CA SERA QUOI APRES ?

Fares: T'es mignonne quand tu dors.

Moi : Et c'est sa ta réponse? Tss.

Fares: Attends j'arrive.

Il reviens 30 mintutes après avec un bol de céréals mddr.

Je prends le bol et je mange. Il continue à me fixer.

Fares : J'ai réfléchi.

Moi : Mmh? 

Fares : Je vais te faire monter en haut, dans ma maison, j'vais plus te laisser là. T'as raison c'est invivable, ça pue.

Moi : ça m'arrange moi.

Fares : Je sais.

Je fini mon bol et je lui donne. 

Fares : Eh mais t'as cru j'était un pigeon? Tu te lèves, et tu va le laver.

Moi: QUOI? Tu me dis d'aller faire la vaisselle là? 

Fares : Ouais, et si tu le fais pas, tu restes ici jusqu'à la fin de ta vie.

Moi: Tu me saoul!

Fares: -rigole- Attends d'abord je te montre la maison.

Je monte avec lui, il me présente sa demeure. Il a une de ses belle maison ! Géante, bien décorée, et tout. 

Il me montre une chambre, voici la description de la chambre :

Grande, un lit deux places, une grande armoire, une télé, un bureau, et c'est tout.

J'était contente, merci Dieu! Je pensais que j'allais rester toute ma vie dans l'autre chambre.

Moi : Merci, Fares.

Fares: T'inquiète pas ☺T'as aimée ?

Moi : Bah oui ! ☺

Fares : Je mérite un bisous non? 

Moi : Non.

Fares : Si! 

Moi: Fares, je ne t'aime pas. Je te haï. Tu es mon kidnappeur. En dirait t'as oublié ? 

Fares : Arrête de dire ça, je fais tout pour que t'es heureuse et tu me rejettes avec tout le temps la même excuse " t'es mon kidnappeur " mais baleck que je suis ton kidnappeur. J'ai le droit de t'aimer nan?

Moi : Et moi j'ai le droit de te détestée non? Et d'ailleurs, je ne serai jamais heureuse, loin de ma famille.

Fares: Smehli, wallah. Je regrette un peu, mais d'un téco (coté) je suis fière de t'avoir connu. Si je t'aurai jamais kidnapper on se connaîtra pas !

Moi: Bah tant mieux ! 

Fares : Je fais quoi pour que tu me pardonnes? 

Moi : Ramène moi chez mes parents.

Fares : Non, tout sauf ça.

Moi: Alors laisse moi parler avec ma mère, s'il te plaît. Et je met le haut parleur, et tu entends notre conversation.

Il a mis du temps pour finalement accepter. Mais en revanche je lui ai promis de le pardonner..

APPEL FARAH ---> SA MERE 

Moi : Allo.. 

Ma mère: FARAH ? FARAH ? C'EST TOI FARAH ! MA FILLE T'ES OU? VITE TES OU BENTHI! 

Moi: Oui mama, c'est moi. Mama je suis bien, je suis en sécurité. 

Ma mère: MAIS DIS NOUS T'ES OU?

Je regarde fares, et il me fait un regard "tu dis, je te tue".

Moi: Je suis bien c'est tout, c'est ce qui compte.

Ma mère: Mais benthi, dis nous t'es ou on vient te chercher ! 

Moi: Mama, je peux pas. Je voulais juste entendre ta voix, tu m'as manquée. Et n'appelle pas les flics, je suis bien.

Ma mère: Pourquoi tu peux pas ? Toi aussi benthi tu m'as manquée. Tu veux parler avec ton père ?

Je regarde de nouveau fares, et il me fait non de la tête.

Moi : Je suis occupée mama, je te rappelle après. Slema.

Ma mère : Salam benthi.. -larmes aux yeux-

FIN APPEL FARAH --> SA MERE 

Dès que j'ai raccrocher, je fonds en larmes. Fares me prends dans ses bras. Je le repousse.

Moi : TOUT SA C'EST DE TA FAUTE ! MA MERE PLEURE TOUTS LES JOURS PAR TA FAUTE ! MES PARENTS SONT INQUIETS! T'AS PAS COEUR! JE TE HAÏ PUTAIN JE TE HAÏ !!!!! 

Je criais, sans réfléchir. Je pleurai, j'était devenu folle.

Fares: Ton père, il m'a fait pleuré toute ma vie, quand il à tiré sur ma mère. Ma mère n'avais plus aucun signe de vie, alors que toi t'es encore en vie, et t'es bien traitée. Moi c'était pas sa, toi tes parents ils sont en vie, moi non. Alors tait toi un peu et réfléchis. Dis moi merci que je te traite comme une princesse.

Dès qu'il a dit ça, j'ai réfléchi. Il n'avait pas tord, mon père lui a briser le coeur à vie et malgré sa, il est resté fort, et à réussi à vivre sans parents. Il n'avait que 8 ans, et déjà plus de parents. C'est horrible, j'ai été égoïste. Comme mon père ! J'ai eu les larmes aux yeux, mon père avait détruis la vie de Fares. Je me met a réfléchir de plus en plus..

Moi : Désolé fares, t'as raison.

Fares : ...

Il part, et ferme la porte derrière lui, je commençais à l'apprécier. Comment se fait-il ? Peut être par ce que j'apprends qu'il à un coeur contrairement à mon père..