« Derrière la lumière de mes sourires se cache l'ombre de ma peine et ma souffrances. »
Il est 8h et je commence ma matinée avec math, c'est ennuyant mais j'écoute car c'est agréable de sentir la bonne humeur et le dynamisme dans sa voie. Mon professeur de math est une femme dans la trentaine, avec ces cheveux écarlates et ses yeux légèrement noir en aurai dit une déesse de feu. Elle est très aimable, mais quand elle se montre contrariée, on ne peut que trembler. Elle prévoit tout le temps l'itinéraire en avance. Quand on fini un peu plus tôt, elle nous laisse du temps libres et sort un petit fraisier fraichement garnie et le déguste avec désire. Je l'aime beaucoup, elle est d'une gentillesse avec moi inégalable. C'est un peu la mère qui n'est pas la en ce moment pour me soutenir, me réconforter où encore me glisser des mots doux quand j'en ai besoins.
J'étais dans mes pensées, quand quelqu'un me réanima vers la réalité.
-Lucy, vu qu'on a fini 20 minutes plus tôt, tu ne pourrais pas aller me chercher un fraisier dans le bureau des professeurs s'il te plaît. Me dit-elle d'une voie douce.
-Oui, bien sûr madame.
Je me levai de mon banc et parti en directions de la porte de sortie, quand je passai celle-ci. J'étais dans le couloir désert, aucuns papiers ne trainait c'était propre.
Les élèves ici, ils sont comment dire...irréelle, virtuelle. Ils font semblent d'être eux même, alors qu'ils ne le sont pas, par exemple. Les filles ici elles se bourgs de maquillages et mette des hauts talons, moi je trouve que ça prouve qu'elles ne s'acceptent pas comme elles sont. Les mecs eux, ils prennent n'importes qu'elle fille tant qu'elles sont bonnes au lit. Ils font semblant de les rendre différentes des autres et une fois qu'ils se sont envoyée en l'air, il l'a jette comme un mouchoir qu'on venait de jetée à la poubelle. Ils font croire qu'ils y sont indifférents, mais au contraire ils se sentent mal, tellement qu'ils veulent recommencée.
C'est tellement wow. Je ne comprends pas, tout simplement pas et je n'ai pas envie de comprendre, pour la simple et bonne raisons que je ne serais jamais dans un de leurs nuages au bord du paradis, car je me bats chaque jour pour sauver, ma famille, les personnes qui n'ont aucuns abri pour se réfugier quand il fait froid. Eux ils se battent pour une paire de chaussure où bien un ballon de football. Pourtant je sais qu'il y a de la place pour tout le monde dans ce bas monde, mais non, ils préfèrent restés égoïstes, ça me désoles...
J'avançai dans le couloir et quand j'aperçu enfin l'endroit que je cherchais, une porte qui se démarquait beaucoup des autres car elle était bleu, bleu clair. Il était écrit dessus « Bureau des professeurs, toqué avant d'entrée.» Quel con, ne toquerai pas avant d'entrée sérieusement ?! Quand j'étais sur le point de toqué quelqu'un me devança et à votre avis, une touffe rose et des yeux émeraudes magnifique, je parle bien de Natsu. Il ne toqua pas et entra sans même brancher à lire ce qui était écrit sur le seuil de la porte, quel imbéciles !
Quand il ouvra la porte en entier je vis certains professeurs assis en train de sirotés un café, quand ils le virent ouvrir la porte. Ils se levèrent tous brusquement et le regardèrent.
-Que nous vaut l'honneur de votre visite ?! S'exclama un prof à proximité.
Quoi !? Ils le vouvoient en plus qu'il n'a même pas toqué, c'est n'importe quoi, il se lève même en sa venue, c'est complètement délirant...
-Vu que je passais par-là, c'est pour vous dire que je sèche.
Il est sérieux celui-là, il vient annoncer en direct qu'il allait sécher. Je pensais qu'il était un minimum intelligent, mais non, il a fallu qu'il soit bête. Même si je ne voyais pas ça tête, je pouvais sentir à des kilomètres son sourire arrogant plaqué sur ces lèvres. On aurait dit qu'il voulait donner un défi.
-Ah...ok, bonne journée !? S'exclama un autre professeur, sourire à la lèvre.
J'étais à la fois sidérée et amusée. Sidérée car c'était la première fois que je voyais un professeur dire oui, pour séché, même si c'est rare qu'on voie un élève se présenter pour quitter l'école sans aucune raison. Amusée car Natsu faisait ce qu'il voulait, j'pari que s'il avait demandé à un prof pour chanter, il l'aurait fait sans aucunes répliques. En même temps qu'on en fait partie de la famille la plus riche et la plus respectée du pays on a tous les droits, il doit en abusée beaucoup, vu son caractère.
-Mais...monsieur...vous avez déjà manqué beaucoup de court, il faudra vous remettre en ordre...
Le prof, l'avait dit tellement bas et lentement, en aurai dit qu'il bégayait. J'aurais tellement voulu pouffer de rire, mais non je devais me retenir pour le bien de l'intentions que les professeurs me portent de puit que je suis arrivées, sûrement par peur de me perdre, j'en sais rien, mais je m'en fou.
-Pourquoi ne pas vous remettre en ordre avec mademoiselle Heartfilia, qui se trouve derrière vous ?
Hein ?! Il m'avait remarqué de puit tantôt, je n'avais même pas remarqué qu'il me regardait. J'allais me retourner pour partir en courant, mais une main s'agrippa à mon poignet pour ne pas que je parte. Je me retournais pour voir qui me tenait, même si je savais à qui elle appartenait.
-Qu'es ce...
Je n'eus à peine le temps de terminer ma phrase, qu'il me coupa.
-Dans ma chambre à 18h, t'as pas intérêt à arriver en retard, je n'ai pas de temps à perdre.
Sur ces mots il partit et s'engouffra dans le couloir. Mais il se prend pour qui ce connard ! L'autre jour il me jetait dans l'eau et maintenant il fait comme si il ne c'était rien passé. Sérieusement, il a vraiment cru que j'allais venir, il se met les doigts dans les yeux ce con.
Quand je repris mes esprits, je me remis en question le pourquoi j'étais là et me souvenu du fraisier.
*
Ce chapitre est vraiment court, je vais me rattraper à la prochaine lecture!
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Too of me love - Fairy tail
FanfictionJe m'appelle Lucy Heartfilia j'habite dans les quartiers pauvres de Fioree, j'ai une petite sœur Wendy et ma mère Layla, mon père est décédée quand j'avais 7 ans, ma vie est banal et pourtant je me dis que chaque personne chaque vie à droit à aux mo...