chapitre 3

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Beaucoup de sang... Son corp étendu sur le carrelage gelé de la cuisine... Il me montre fièrement l'arme... Encore des menaces... Des cries de rage... Un coup de feu...

Je n'arrive plus a fermer l'oeil sans revoir les événement de ses dernier temps.

On me racontait, lorsque j'était encore petite et innocente, que la famille était mon meilleur pillier, que quoi qu'il arrive il seront toujours la pour m'épauler. Mais en grandissant je me suis vite rendu compte que cela était en vérité un tissus de mensonge, pour me cacher d'une réalité des plus ecoeurante. Ils cherchaient tous a me montrer qu'une seul partie du décore pour que je devienne comme eux, des monstres, mais tout ce qu'il ont réussi a faire, c'est de décuplé un peu plus chaque jour mon dégout enverrai ses êtres immonde.

Un bruit dans le salon me sort de mes reflexion. Je descend de mon lit et me dirige dans le salon sur la pointé des pied. Mais ce que je vois me met directement sur le cul. Je ne peux pas me retenir et j'explose de rire. Mike étaler de tout son long dans mon salon.
Je pense qu'il a du se prendre les pied dans l'une des boite a pizza d'hier.

Il se relève vite-fait et tapote sa veste pour enlevez la poussière.

-Je t'interdit de rire "la sauvage". me menace-t-il en me pointant du doigt, mais je vois que lui même a du mal a ce contenir de ne pas rire.

-Mais comment a tu fait pour te retrouver aplatit comme une crêpe invarier...

Il explose de rire a ma métaphore et j'avoue que je ne m'était pas vraiment rendu compte de ce que je viens de dire.

-Alala... j'en connais une qui a faim. dit Mike. Aller vas t'abiller, je t'invite pour le petit dej'.

Je remarque que maintenant que je suis encore en pijama. Un simple débardeur blanc et un pantalon a carreau. Je lève les yeux au ciel d'exaspération, puis me dirige vers ma chambre. Je décide de mettre un jean et un pull gris foncée trop grand pour moi. Je ne me maquille pas, je déteste ça. Une fois prête, je vais dans le salon où Mike est confortablement assis sur le canapé.

-Eh bas, tu as fait vite. Me dit Mike, il s'approche de moi pour me détailler. Mais tu ne te maquille pas?

Pour toute réponse,je lui lance un "Beurk" et me dirige vers la porte. Je prend au passage mon parka et mon bonnet en laine, il fait un froid de canard dehor. Mais une fois a la porte je me rend compte de quelque chose.

-Dit moi monsieur anormale. Dis-je en me tournant vers Mike. Tu ne serait pas passer par la fenêtre se matin? lui demandais-je.

Mike me regarde d'abord comme si il est outré, mais voyant mon regard accusateur, il baisse les yeux et fait encore sa bouille trop mignonne.

- OK je l'avoue... mais j'ai perdu mes clés de mon appart'. dit-il pour se défendre.

Je lève les yeux au ciel.

- Mais il est pas possible ce gosse. Dis-je a l'adresse de Mike.

Je me retourne prêt a partir, mais un grognement de bébé venant de Mike fait naitre un grand sourire sur mes lèvres.

Pendant toute la descente de l'ascenseur, Mike n'a pas arrêter de me parler de maniere enfantine, bizarrement le trajet fut plus long que d'habitude.

Une fois arriver en bas, nous nous chamaillon sur des broutille,mais dans le hall, on est interrompit par un raclement de gorge. On se retourne en même temps vers l'origine du bruit, qui n'est autre que Hélène qui nous regarde avec malice et son éternel sourire scothé au visage.

-Eh bien Hayley, je vois que tu as fait la connaissance de Mike... Elle fronce les sourcil et penche sa tête sur le coté. Pourtant tu m'avait dit que tu ne voulais pas le rencontrer, n'est-ce pas?

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