Chapitre 42 : Mal-entendu

240 23 7
                                    

Samedi matin, Pénélope reçu la visite de Plume, sa petite chouette lors du petit déjeuné. Elle lui apportait la réponse de ses parents, suite à son message qu'elle leur avait envoyé deux jours auparavant.

Coucou Penny !
Ton père et moi allons bien, merci. Tu nous manques beaucoup, mais nous sommes ravis que tout aille bien pour toi. Bien sûr que tu peux rester à Poudlard pour Noël ! Nous t'enverrons ton cadeau au château. Passe de bonnes fêtes,
Bisous, Maman.

-Rose ! Je reste au château pour Noël !

-Cool ! Amuses toi bien !

-Tu... Tu pars ?

-Évidement ! Tu pensais que je restais ?

-Oui...

-Nous on seras là, la rassura Ginny. Hermione, Ron, Harry et moi. On a envie de profiter du château une dernière fois.

-T'es parents sont d'accord ? lui demanda Émilie.

-Oui, bien sûr ! C'est même mon père qui l'a proposé ! Ils viendront peut être pour le repas de Noël, je crois que McGonagall les a invités.

-Mais ça va être trop cool ! J'adore tes parents !

-Ils vont t'adorer aussi Pen, dit Ron en riant.

* * *

Après le petit déjeuné, Rose, Émilie et Pénélope attendirent dans la salle commune l'heure du départ pour Pré-au-Lard.

-Vous voulez aller où ? demanda Émilie.

-Chez Honeyduke, il faut que je ramène des Chocogrenouilles à mes parents. Pen ?

-J'ai un rendez vous avec Max aujourd'hui.

Rose et Émilie se jetèrent un coup d'œil malicieux.

-Rendez-vous, rendez vous ? questionna Rose.

-Rendez-vous quoi. Je passe la journée avec lui, c'est tout.

-Non, mais rencard ou pas !?

-Non ! Enfin... Je pense pas.

-Salut Pen. On y va ?

Max venait de descendre le petit escalier. Pénélope rougit en espérant qu'il n'ai rien entendu.

-Euh, oui. Je suis prête. À ce soir les filles !

-À ce soir ! lancèrent les deux Gryffondors en pouffant à moitié.

* * *

De tout les weekends à Poudlard, celui-ci fut le plus froid.

-Tu as des cadeaux de Noël à faire ? demanda Max à la jeune fille, alors qu'ils passaient devant les vitrines des magasins.

-Euh... Oui, pour mes parents, je vais sans doute leur envoyer quelque chose. Toi ?

-Non, je les trouveraient dans mon village. J'habite-

invisibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant