Chapitre 6 - Le combat

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- UN PEU AVANT LA DEUXIÈME PHASE DE L'ENTRAÎNEMENT -

Je me réveille avec une magnifique vue sur la forêt, je n'ai pas encore fais attention à ma nouvelle chambre. Je décide donc de me lever et d'allez voir comment elle est.

Elle est assez grande, je dirais sept mètres carrée, en plus elle est dotée d'une salle de bain avec baignoire.

Devant la salle de bain se trouve une merveilleuse petite table de nuit avec une lampe sur celle-ci et à côté d'elle une armoire.
L'armoire contient quelques vêtements de sport de bien meilleures qualités que ceux que j'avais chez mon père et de ma taille en plus. À gauche de la salle de bain il y a mon lit deux places, et devant celui-ci j'ai une gigantesque vue sur la forêt qui s'étend à perte de vue avec en prime le lever du soleil sur le lac. C'est stupéfiant, incroyable.
Je reste en extase devant cette vue. La forêt est composée de diverses sorte d'arbres telle que des sapins ou encore des chênes, il y a aussi des oiseaux qui chante, des petits lapins tellement mignon qui courent dans tous les sens ! Sa me donne envie de leurs courir après... enfin bref.

Et là, encore plus beau que tout ce que j'ai pu voir, Jesse. Je le vois se promener au bord du fameux lac.

Je prends donc la décision de prendre des vêtements de l'armoire, me brosser les cheveux avant d'aller me laver sinon j'aurais des noeuds pour aller le voir.

Après ma douche rafraîchissante, je me dépêche de me sécher, m'habiller, me recoiffer les cheveux et je regarde par la "vue magnifique" si Jesse est toujours là et oui il y est, d'ailleurs c'est bizarre mais j'ai l'étrange impression qu'il me fixe comme s'il savait que je vais le rejoindre. Non, je dois certainement halluciner.

Je me dirige dans la cuisine en espérant qu'il y ai quelque chose à grignoter qui me donnerais envie mais rien, je n'ai pas vraiment faim.
En sortant de là j'aperçois la carcasse du cerf que j'ai eu hier et malgré son odeur fumé je n'ai guère envie d'en manger ne serait-ce qu'un petit morceau.
D'ailleurs il n'en reste pas grand chose. Et là, devant la porte, je découvre que Maria qui me regarde d'un air attristé. Mais je m'en contre fiche royalement.

Je tente de sortir mais elle me bloque le passage de la sortie.

Je lui dis d'une voix agacée mais tout de même polie :

" Peux-tu te pousser que je puisse sortir ?

Déso.... désoler pour ce que j'ai pu te dire hier mais j'avais peur pour toi, j'avais peur que tu meurs.

Donc tu aurais sans doutes préférer que je meurs manger par un loup en plein milieu de la forêt et que je me sois retrouvée les tripes à l'air ? C'est vrai que c'est beaucoup plus agréable.

Ce n'était pas ce que je voulais dire mais sur le coup de la peur...

C'est bon j'ai compris, t'es pardonnée, je sais ce que c'est de dire n'importe quoi sur le coup de la peur ou de la colère.

Ah bon ? Comment sa ?

Rien laisse tomber c'est pas important."

Je n'ai même pas remarquée que depuis tout à l'heure, au moment où j'ai commencer à lui parler, j'avais non seulement les poings serrés mais les dents aussi.

" D'accord. N'hésites pas à me parler si tu as besoin d'une oreille qui t'écoutes.

Je dois d'abord apprendre à te connaître avant de te dire quoi qu...

La femme louve - TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant