Espion Inconnu - tome 1

Chapitre 4

Mathias décida de se rendre discrètement en Allemagne, et pris un billet de train sous le nom de William Smith pour ne pas être repéré.
Quelques heures plus tard, il se rendit dans les locaux des espions allemands pour leur signaler le projet d'attentat, et aussi pour avoir leur aide pour dévier l'attentat.
Il reçoit une alerte sur sa montre disant que l'attentat allait se produire le premier mai, jour de la fête du travail à onze heures précise.
Vu que tous les agents allemands ont un nom de code, Mathias demanda à parlé au sergent W qui dirige le service. Il patienta quelques secondes. Il vit que le sergent arriva et lui demanda :
- mon collègue m'a dit que vous vouliez me parler ?
- c'est exact, j'ai été averti qu'il y allait avoir un attentat le premier mai dans le centre-ville de Berlin près des bureaux d'un journal satirique, peut-être même le bureau et aussi que vous n'étiez pas au courant.
- d'accord, merci de nous avoir prévenus, car on ne le savait pas et par curiosité, comment avez-vous eu cette information ?
- J'ai simplement développé un ordinateur qui peut détecter le moindre projet d'attentat. Par ailleurs, une montre me signale directement s'il y a du nouveau.
- Venez dans mon bureau, nous n'allons pas rester dans le couloir !
Mathias le suivi. Arrivé tous deux devant une porte, le sergent mit son index sur une machine à reconnaissance pour ouvrir la porte de son bureau. Une fois à l'intérieur, le sergent invita Mathias à s'asseoir dans le canapé.
- Mais vous travaillez pour qu'elle agence d'espionnage au juste ?

- Je ne travaille pour aucune en particulier, j'interviens sur toute sorte de mission sans que les services intervenante ne le sache.
- Ah d'accord !

La conversation entre Mathias et le sergent W se termine, le Sergent conclu par :
- Nous allons vous accompagner vers votre bureau, et vous aurez un ordinateur assez puissant pour utiliser votre programme.
- Bien-sûr, nous allons vous prêter un rafale.

Son bureau était à côté de celui du Sergent. À neuf heures du matin, il demanda à ses coéquipier allemands de l'accompagner à Paris.
Une fois arrivé, il fit une copie de son programme sur un disque dur externe. Ce transfert prend un peu moins de deux heures. Une fois ce transfert terminé, il fit signe au coéquipier d'allumer le rafale. Même pas en une heure, il est revenu dans les locaux allemands.