Chapitre 6/meutre

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Sorti du batiment, harry fit sonner sa voiture avec la petite télécommande pour repérer sa voiture, mais aucun son se fit entendre. Je me retourna vers lui en lui demandant

Moi : alors, elle est où ta voiture?
Harry : et bien peut-être que si tu ne me l'aurais pas volé se matin je l'aurais maintenant
Moi : oh, alors que fait-on?
Harry : ta une voiture?
Moi : ouin

Je repensa à la voiture que je possédais maintenant, un beau tas de ferraille. Je marcha quand même dans les allés d'auto, je m'étais parqué au fond pour ne pas être remarqué. Même à ça c'est dure de ne pas ce faire remarquer quand elle est entouré de Range Rover noir qui font deux foix sa taille. Arrivé à ma "voiture", j'essaya d'ouvrir la porte de celle-ci et c'est seulement au troisième essaies que je réussisa sous le rire d'Harry. Il me dit

Harry : t'appele ça une voiture?
Moi : c'est tout ce que j'ai trouvé en échange de ton Range Rover avec la vitre cassé
Harry : Quoi? Tu as échangé mon auto!
Moi : ben... Oui!
Harry : paul va me tuer!
Moi : je vais lui expliquer que c'est moi et tout et tout...
Harry : bon en attendant, je n'embarque pas là dedans moi! Ça empeste jusqu'ici!
Moi : tu as une deuxième options d'abord?
Harry : on a juste à prendre ma voiture
Moi : mais tu es amnésique ou quoi, on l'a pas ton auto!
Harry : je parle ma voiture personnelle, pas pour le travail
Moi : d'accord, allons-y avant que les magasins ferment

Je referma la portière et suivis harry jusqu'aux bout complêtement du parking, là, il y avait plus de variété d'auto, de toutes les couleurs. Harry marcha jusqu'à une belle Audi grise quand même sport. Il la débarra et s'assoya du coté passager bien évidemment. De mon coté je m'assoyai de l'autre coté. Je lui demanda où il avait eu sa voiture :

Moi : où tu as eu ta voiture elle veut une fortune!
Harry : mon père me la offert à noël
Moi : beau gros cadeau en tout cas, moi qui trouvait que c'était un gros cadeau une carte cadeau de 20$ chez Starbuck
Harry : ben quand même!
Moi : elle vaut vingt dollars ma carte pas des millions!
Harry : t'en que ça vien du coeur
Moi : ouais, classique!
Harry : mais vrai

Il s'arrêta dans le centre commercial le plus proche, il n'y avait presque pas de stationnement, mais on a trouvé. Tout de suite en entrant, je vue un salon de coiffure, il faut vraiment que j'y ailles, mais avant, il fallait faire du shopping, je me dirigea vers la première boutique, Victoria's Secret, super comme premier magasin!

******

Je suis entrain de me faire faire une teinture, rouge, comme le gars que j'avais vue. Si lui il avait le droit alors moi aussi. La coiffeuse s'agitait autour de moi me disant qu'elle va commencer par les pointes. Plus loin Harry se faisait aussi coiffer, il avait refuser de se les faire couper alors, il allait seulement se les faire perfectionner et j'ai demandé personnelement à la coiffeuse qu'elle lui fasse des tresses. Harry avait tous nos sacs à ses pieds, nous avions acheté pas mal de choses tous les deux. Pour moi j'avais acheté un veston pour femme, des t-shirts, des camisoles, des souvêtements et beaucoup de skinny noirs, j'ai même osé en acheter un déchiré du genou, j'espère que Simon va les accepter car elles sont mes préférées. Harry lui c'était acheté d'autre chemise noir, et quelques unes à manches courtes, il c'est aussi acheté des chandails blancs et noirs.
Soudain, un coup de feu retentit, je releva ma tête rapidement et regarda harry qui avait deux tresses et un chignon à présent. Il se leva et je l'imita, enlevant les petits bouts d'alluminium de mes cheveux et vue que mes cheveux étaient a moitié rouge avec des mèches noir, ça faisait son style. Je couru ratraper harry qui avait son fusil dans la main, je lui demanda que c'était-il passé par rapport au coup de feu et il me répondit qu'il en savait rien et qu'il allait voir, je le suivi. On s'avança, le son venait d'un restaurant non-loin, tout le monde était entrain de paniquer, ils y en avaient qui courait tendis que d'autres étaient par terre, figés par la peur sûrement. Sur une table il avait du sang et par terre juste à côté, il y avait un homme avec une balle dans la tête, il avait les yeux encore ouverts, un frisson de peurs me passa dans le dos. Cette vue m'horrifiait tendis qu'Harry lui avait aucune émotion.
Harry s'aprocha du corps. Il me dit

Harry : tiens, prend mon téléphone et appele Liam.
Moi : euh.. Okay

J'avais eu de la misère à sortir ces mots de ma bouche, je pris quand même le téléphone qu'harry me tendait, il était déjà débarré, intelligent ce Harry. J'alla dans ses contacts et appela liam ça se passa comme ça

Liam : allo?
Moi : liam
Liam : oui
Moi : c'est florence vien au centre d'achat
Liam : qu'est-ce qui se passe?
Moi : il y a eu un meutre et harry ma dit de t'appeler
Liam : merde, j'arrive

Puis il racrocha je dis à harry qu'il arrivait. Harry était concentré sur le corps à regarder les alentours.

Harry : faut attendre les autres, on peut rien faire, il est mort
Moi : non, une chance que tu me l'as dit! J'avais pas vu qu'il avait une balle entre les deux yeux!
Harry : arrête ton sarcasme et examine un peu le corps là
Moi : pourquoi?
Harry : pour lui faire un portrait! Ben non, car le cas va sûrement nous être refilé
Moi : après ça c'est moi qui devrait arrêter mon sarcasme?

Harry fit un petit sourire en coin mais se reconcentra sur le corps me le décrivant

Harry : il doit avoir dans la quarentaine, il a un téléphone mais il est barré. Il a aussi un porte feuille mais il est en dessous de lui, il va falloir attendre que le légiste le retourne. Il est en smoking, il devait rentrer du bureau ou de son travail
Moi : ou il avait un rendez-vous
Harry : si c'est ça il va falloir retrouver la fille qui était suposé être là
Moi : elle était là, la fille regarde, les ustensiles ne sont pas dans leur mouchoir.

Harry se releva et regarda la table duquel le pauvre homme était sûrement entrain de diner. Il avait du sang partout. Les ustensiles n'étaient plus dans leur socle et il y avait des verres d'eau commencés. J'entendis des sirènes de polices et vue que deux gros Range Rover arrivaient, tous les gars de l'unité débarquèrent et suivèrent Paul jusqu'à l'entré. Eh bien, c'est officiel maitenant.

La traqueuse || 1DOù les histoires vivent. Découvrez maintenant