Chapitre 36

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27 septembre 1936

Anita s'avança dans la pièce, gâteau en main sous le chant des invités. Les joyeux anniversaire résonnez dans toute la maison. Quand elle posa le gâteau devant Léo, le petit garçon qui fêter ces 1 an le jour même été très heureux. La jeune femme déposa la bougie en forme de 1 et l'alluma avec un briquet.
- tu es prêt ? dit elle a Léo le sourire aux lèvres.
Nathan les rejoignit puis à 3 ils soufflèrent ensemble.
Une fois la bougie éteinte les applaudissements retentissèrent, ce qui amusa Léo.
Anita pris soin de couper et servir les parts du gâteau au chocolat.
Une fois les invités rassasiés elle gagna la cuisine les assiettes et couvert en main.
- besoin d'aide ?
- Non merci ça va allez.
La jeune femme sourit à Lucie la laissant perplexe.
- Anita tout vas bien ? Tu n'as pas l'air vraiment dans ton assiette.
- Oh tu sais rien de bien méchant, juste la fatigue c'est tout.
- Je me fais du soucis pour toi.
- Tu n'as pas à t'inquiéter, rassure toi je vais bien, c'est juste que je ne dors pas très bien en ce moment.
- Tu sais que tu peux parler à ta sœur chérie.
- Oui bien sure répondit elle en souriant.
- Ou est donc passé ma femme adoré ?
- Je suis la chéri.
- Léo nous attend pour ouvrir ces cadeaux, je ne voudrais pas te presser mais monsieur n'est pas décidé à attendre.
- Dépêchons nous alors.
Elle embrassa au passage Nathan qui l'a retenue par la taille pour prolonger le baiser.
- les amoureux c'est pas tout sa mais Léo vous attend.
Ils se sourirent mutuellement, puis ils aidèrent Léo à ouvrir l'ensemble de ces cadeaux.

                    1er décembre 1937

- tu devrais te détendre et ne pas y penser, tu te met trop de choses en tête ma chérie.
Marianne posa sa main sur celle d'Anita la regardant très sérieusement dans les yeux.
- j'essaye mais je n'y arrive pas.
Nathan entra dans la maison à cet instant précis, la jeune femme retira alors sa main d'un geste et se leva pour gagner la cuisine.
- du café ? Demanda telle en haussant la voix.
- Je veux bien répondit le jeune homme en la suivant.
Elle s'exécuta alors, il balada ces mains sur les hanches d'Anita et l'embrassa tendrement dans le cou.
- ma mère est la dit elle en se reculant légèrement.
- Oui, dans l'autre pièce c'est à dire qu'elle ne voit rien.
- Nathan..
- Ne pas me rejeter serait trop te demander ?
- Ne commence pas s'il te plaît.
- J'aimerais que tu me parles, tu es distante et sa ne s'est pas arrangé depuis la mort de Gaëtan.
- Je me sens responsable.
- Mais tu n'y est pour rien, c'est lui qui a décidé d'en finir pas toi, tu ne la pas forcer à le faire.
- Je sais tout sa.
- Alors passe à autre chose.
- Il n'y a pas que sa Nathan et tu le sais.
- Moi aussi j'aimerais que ça marche, je ne sais pas ce qui bloque Anita.
- Léo à eu 2 ans et sa fais 4 mois qu'on essaye d'avoir un autre enfant, rien ne vient, moi non plus je ne comprend pas.
- Il faut laissez faire la nature, sa a marché une première fois je ne vois pas pourquoi sa ne devrait pas allez une deuxième fois.
- Je suis désespérée et si je ne pouvais plus avoir d'enfant ?
- Eh ! Chut calme toi, tu es fatiguée, tes émotions te joue des tours. Je le veux également cet enfant, on va se battre pour l'avoir crois moi. C'est long mais quand il ou elle sera la tu te diras que sa valait le coup d'attendre.
- J'aimerais pouvoir réagir comme toi.
- Je ne vais pas vous déranger plus longtemps ajouta Marianne gêné.
- Tu nous dérange pas maman.
- Un peu quand même, j'ai entendue, enfin tu le sais bien sûre.
- Oui.. Je m'excuse.
- Ce n'est rien, je repasserais une prochaine fois et cette fois ci avec ton père.
La jeune femme acquiesça et salua sa mère se retrouvant à nouveau seule avec Nathan, Léo étant actuellement entrain de dormir.
- que dirais tu de ressayer maintenant ?
- Tu le veux vraiment ?
- Je le veux aussi fort que je t'aime.
- Alors je crois que je devrais te débarrasser de ton pantalon.
- Hum oui je pense que se serait mieux répondit il en souriant.
Elle déboutonna d'un geste le pantalon du jeune homme tout en l'embrassant passionnément, puis elle finis par enlever le moindre de ces vêtements ce qu'il fit à son tour avec assurance. Il la souleva pour la déposer ensuite sur le fauteuil du salon, d'un coup de rein il s'enfonça en elle et commença le va et viens. Ils s'emboîter à la perfection, ce deuxième enfant ils le voulaient plus que tout. La jeune femme laissa échapper un cri de plaisir. Il enfonça alors ces mains dans ceux de sa moitié tout en continuant cette délicieuse danse charnel. Ensemble ils ne faisaient plus qu'un, le jeune homme accéléra le mouvement, caressant le corps perlé de la jeune femme. Elle se laissa alors emporté dans le plaisir de la chair aux côté de l'homme de ces rêves.

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