D'un simple regard

Chapitre 37

28 juillet 1938

Le soleil donné sur tout Paris, assise sur l'herbe elle observer Léo qui s'amuser près d'elle. Ce petit bout allez sur ces 3 ans et sa faisait également bientôt 1 an qu'elle se battait avec Nathan pour avoir un autre enfant. Le cœur serré elle refoula ces émotions c'était une trop belle journée pour pleurer, sourire c'est ce qu'il fallait faire avant tout.
Nathan les rejoignit des glaces à la main, le petit garçon courut dans sa direction insistant pour avoir la sienne.
- Et une glace au chocolat pour monsieur Léo et une à la fraise pour la plus belle des femmes.
- Merci.
Il attendit que Léo s'éloigne un peu pour entamer la conversation.
- Je sais ce que tu ressens, c'est pareil pour moi.
- Je n'y crois plus Nathan..
- On pourrait..
- Non dit elle en lui coupant la parole, pas question d'adopter.
- Alors ne baisse pas les bras, pas comme sa Anita.
Elle tourna son regard vers lui avant de regarder de nouveau Léo, il était son rayon de soleil. Son diamant le plus précieux. Elle posa délicatement sa tête sur l'épaule du jeune homme qui la serra très fort contre lui.
- on y arrivera murmura t'il.
- Maman, papa, le manège dit il en montrant du doigt un carrousel.
Leo était le portrait craché de son père, Anita en était tellement fière. Elle se leva et le pris par la main pour l'amener faire un tour de manège. Le voir sourire la faisait sourire également.

                   10 Septembre 1938

- bravo ma chérie s'exclama Lucie en applaudissant.
La petite fille sourit de toute ces dents quand elle eu finit de souffler ces bougies, elle avait aujourd'hui 4 ans et tout le monde été présent pour cet événement.
- Anita rapproche toi pour faire une photo avec ta filleule.
Elle s'exécuta sans broncher et s'agenouilla auprès d'Élia.
- ouistiti s'écria la petit fille en souriant.
- Maintenant une photo tous ensemble.
Une fois la photo prise et le gâteau englouti par les invités, Lucie débarrassa suivi d'Anita et Marianne.
- J'ai peut être une bonne nouvelle à vous annoncer marmonna la jeune femme en arrivant dans la cuisine.
- Tu es sure ? Ajouta Lucie ayant compris.
- J'ai quinze jours de retard, je sens que cette fois ci c'est la bonne dit elle en souriant.
- Ma chérie c'est super vous le méritez tellement.
Marianne s'avança vers elle et la pris dans ces bras.
- merci d'avoir accepter que je fasse ma vie auprès de Nathan.
- Je n'ai pas toujours été très commode et je dois dire que je m'étais trompé sur son compte, c'est un très bon gendre et un merveilleux papa, ton bonheur c'est ce qui compte avant tout.
- Je suis si heureuse ajouta Lucie, depuis le temps que tu attendais ce deuxième enfant.
- J'ai tellement hâte qu'il ou elle soit la.
- Nathan le sait ?
- Je vais lui dire ce soir une fois qu'on sera rentrés.
- Il va être soulagé de l'apprendre.
- Lucie cria Alexandre dans l'autre pièce.
- J'arrive !
Elles rejoignirent toute les trois le salon, Anita serra Nathan dans ces bras tout en l'embrassant.
- Essayerais tu de me charmer ?
- Peut être bien ou peut être pas.
- Coquine.
Elle lui tira la langue tandis que le jeune homme riposta en la chatouillant.
- C'est pas juste tu sais que je n'arrive pas à me débattre.
- Justement.  
Elle fit mine de faire la moue, il lui fit alors un bisous sur la joue.
- il grandit tellement vite dit il en tournant le regard vers Léo.
- Oh oui.
- Je me sens nostalgique tout à coup, je crois que tu m'as refilé ton coup de blues.
- Ce n'était pas mon intention désolé répondit elle en rigolant.

- Bonne nuit mon cœur.
- Bonne nuit maman, bonne nuit papa.
- Bonne nuit champion.
Une fois sortie de la chambre de Léo, Anita se colla contre le mur les bras croisés.
- Pourquoi me regarde tu comme sa ? Lança Nathan perplexe.
- J'ai du retard.
Le jeune homme la regarda très sérieusement, puis finit par sourire.
- tu es sure ? Tu as bien compté ? Dit il en lui prenant les mains.
- Oui je suis sûre, j'aurais dû avoir mes règles il y'a quinze jours.
- Oh Anita.
Il prit son visage entre ces mains et posa son front contre le sien, caressant doucement chaque centimètre de sa peau.
- On a réussie.
- Oui, c'est la bonne.
- Je suis tellement heureux.
- Moi aussi s'exclama la jeune femme au bord des larmes.
- Je t'aime, je vous aimes plus que tout. Jamais plus je ne pourrais imaginer ma vie sans vous.
Elle se mordilla la lèvre, c'est à ce moment là que Nathan décida de l'embrassé comme si sa vie en dépendait.