Camille vient de finir son travail et rentre chez elle guillerette. Finir le travail un vendredi midi, what else? Et comme le disent si bien les anglais, TGIF!
Ça y est, elle est déjà chez elle. Le fait de penser à tout ce qu'elle allait pouvoir faire ce weekend, elle n'a pas vu le trajet passer.
Se faire couler un bain relaxant en buvant un petit verre de vin blanc doux ...
Et pourquoi pas se faire une petite gâterie par la même occasion?
Huuum, rien que d'y penser, elle a son bas ventre qui la chatouille de plaisir.Elle rentre dans l'immeuble d'un pas léger, monte 4 à 4 les escaliers pour rejoindre le deuxième étage de son appartement et s'arrête devant sa porte pour chercher les clés dans son sac "très légèrement" encombré.
Alors qu'elle y fouille consciencieusement les différents compartiments, elle entend à travers la porte d'entrée, une sorte de gémissement rauque et rythmé.
Intriguée, elle pose son oreille contre le bois froid pour s'assurer de la provenance et de la nature du bruit.
Après une minute d'écoute concentrée et studieuse, elle ne peut nier la chose, quelqu'un a bien l'air de prendre son pieds chez elle.Qui cela peut-il être?
Certainement pas Audrey, sa belle sœur de vingt trois ans (la fille du copain de sa mère, qui eux sont ensembles depuis 11 ans maintenant), de un an sa cadette qui est venue passer quelques jours chez elle et qui ne connaît personne ici.
Mais sait-on jamais?
Elle penche plus pour sa colocataire et meilleure amie qu'elle côtoie maintenant depuis 4 ans ...Curieuse, elle décide de se faire très discrète pour essayer de connaitre le fin mot de l'histoire sans perturber l'épicurienne.
Elle enlève ses chaussures, ouvre doucement la serrure, se glisse sans bruit dans le grand appartement. Elle dépose son sac dans le couloir d'entrée puis se dirige précautionneusement vers les gémissements de plus en plus forts.
Elle glisse sa tête dans le couloir des chambres et y reconnait, à demi cachée par la pénombre, agenouillée devant la porte entrouverte de sa coloc, sa jolie belle sœur, culotte baissée, chemise de nuit remontée, en train de caresser avec application son minou.
Les doigts fureteurs doivent glisser sur sa vulve humide, alors que son autre main a l'air de caresser ses seins.
Mis à part ses doigts qui produisent un très léger bruit de frottement mouillé, aucun son ni souffle ne sort de sa bouche.
Ça, ça ne l'étonne pas.Elle s'était rendue compte que sa belle sœur chérie (elles s'étaient tout de suite entendu à merveille) pouvait se donner du plaisir sans gémir ni pousser de cri de jouissance quand elle avait un orgasme.
En effet, quand celle-ci venait rendre visite à son père les weekends et une bonne partie des vacances, elles devaient partager le même lit, faute de place.
Notre héroïne, qui se masturbait tous les soirs une fois couchée, avait, sans le vouloir, poussé sa belle sœur au vice.Cet acte auto sexuel s'apparentait en fait à un rituel. Rituel devenu une nécessité pour elle, car cela lui permettait de vider sa tête de tout le stress accumulé dans la journée.
Invariablement, dès qu'elles étaient couchées, une fois la lumière éteinte, elle glissait sa main droite jusqu'à son entrejambe, et se masturbait, la chemise de nuit relevée au dessus de ses seins dont elle titillait les tétons dressés.
Le plaisir dévastateur faisant son office, elle se retrouvait au bout d'un moment, gémissante et les jambes écartées.
Vu la relative étroitesse du lit, ses jolies gambettes se retrouvaient en contact avec celles de sa belle sœur, allongée innocemment à ses côtés.
Ce qui ne manquait pas de la réveiller. Mais celle-ci, qui aimait trop son ainée pour l'embarrasser, n'avait jamais osée rien dire.
VOUS LISEZ
Les petites coquines(sexe entre copines) [PDI]
Romance[Attention, texte réservé à un public majeur et prévenu! Merci pour votre compréhension ^^] Des tranches de vies non censurées et très sexuelles d'une bande de jeunes femmes délurées et très portées sur la chose ... sans qu'il s'agisse de nymphomane...