Cette rencontre[]

Chapitre30

Je me cala dans les bras de Romain. Il posa sa main sur mon menton, redressa ma tête à la hauteur de la sienne et déposa ses lèvres sur les miennes. Je recala ma tête contre l'épaule de Romain. Je m'endormis quelques instants après. Romain s'endormit aussi.
Je me réveilla, il devait être 11h du mat. Je me levais, allais vers un petit placard avec de la bouffe et pris un paquet de gâteaux. Je me rassis dans un fauteuil. J'en avais marre de rester ici à rien faire alors que mon père devait être avec ces cons de kidnappeurs ! Je me levais et me dirigea vers la porte. Je tourna la cloche et ouvrit la porte. J'avançais dans le tunnel avec les lampes qu'on avait à l'allée. J'avais délicatement fermé la porte pour ne pas réveillé Romain. Je marchais depuis plus d'un quart d'heure. Une demi-heure. Puis j'aperçus la "porte" Par où on était entré. Je cherchais comment l'ouvrir parce qu'il n'y avait pas de poignet. Ça devais être comme de l'autre côté il fallait tirer sur un livre, mais aucune bibliothèque se trouvais ici. Je touchais à tous, espérant que ça déclenche un mécanisme pour ouvrir la porte mais en vain. Mais à un moment alors que je me recula parce que j'en avais marre d'être à quatre pattes par terre cherchant un bouton, je marchais sur un dalle qui fit ouvrir la "porte". De l'autre côté, la pièce semblait vide. Aucuns signes de présences. Je commençais donc à avancer. Je me trouvais maintenant dans ma chambre. Tout était a sa place comme si personne n'avait avec dans cette chambre. J'entendis un bruit derrière moi. Je tourna sur moi-même. C'était juste la porte qui se refermait. Je soupirais, rassuré que c'était juste la porte. Mais alors que je me dirigeais vers mon lit, un autre bruit se fit entendre juste derrière moi. Mais cette fois ce n'était pas la porte. C'était une personne, elle se tenait là, assise sur un des fauteuil de la pièce, elle avait l'air serein. Mais cette personne ne me faisait pas peur, bizarrement je ne savais pas pourquoi. Peut être que pour finir je lui faisait confiance, alors que je la détestait quelque jours plus tôt, je lui en voulait à mort de m'avoir fait ce qu'il m'avait fait. Mais pourtant, je ne me méfia pas et je l'approcha de lui.