huitième recette

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Réaliste et non pessimiste

J'avais dis dans une précédente recette qu'il fallait voir et ressentir la vie qui nous entoure. Apprécier des petits moments qui paraissent anodins mais finalement qui pourraient être les différentes notes de notre vie et en faire une symphonie. 

Mais c'est sans oublier le réalisme de la vie. Par exemple, se lever tôt le matin pour aller chercher un emploi et au passage entendre un oiseau chanter gaiement, peut évidemment remplir le cœur d'une liqueur, mais cela reste éphémère malheureusement.

Il faut alors regarder devant soi.

L'avenir. Il semble incertain, certes, mais il repose sur le moment présent, sur les moyens que nous mettons en oeuvre, sur les défis que nous nous lançons, sur la force de conviction que nous y apportons.

Réalité. Un bien grand mot, pourtant évident et essentiel à saisir dans sa globalité. Avoir conscience de ce que l'on a en main, conscience de nos capacités, conscience de notre pouvoir; qu'il soit d'ordre mental ou matériel. 

La réalité dans son état pur, rejette le pessimisme. Elle est là, c'est un fait. Le pessimisme est une émotion, qui plus est, négative. Alors elle est à proscrire. Pourquoi? Il est évident qu'elle vient voiler la vision réelle de la vie, elle vient la dépeindre et la rendre inutile. Or la réalité est là. On ne peut rien y faire; seulement l'apprécier et l'améliorer. Le pessimisme, lui, est créer de toute pièce par le cerveau. C'est une émotion comme une autre qui provient de l'interprétation que l'on se fait de ce qui nous entoure, de cette sois disant fatale réalité. Elle se façonne cette dernière au grès des émotions. Alors soyons maître de nos émotions et nous serons maître de notre réalité, donc de notre vie.

voilà, c'était Zarafia la psy, 150euros la lecture :D :P 

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