Chapitre 10

5K 288 46
                                    


Hermione repétait sans cesse les paroles prononcé par son pire ennemi. Car c'est bein ce qu'ils étaient ? Ennemis ? Hermione éteignit les lampes de la tente et décida d'aller se coucher. Une semaine s'était écoulée depuis leur conversation. Hermione se blottit contre son oreiller, elle avait pris l'habitude de dormir dans le lit précédement occupé par Malefoy. Son odeur occupait encore les lieux. Cette odeur avait quelque chose de rassurante. C'était sa dernière nuit en tant que fugitif. Hermione mis du temps à s'endormir. Elle avait peur que la prochaine fois qu'elle reverrait Malefoy se soit sur le champs de bataille. Avait-il changé de camps finalement? Ou allait-il se battre auprès de ses parents?

Cette même nuit-là, Drago ne dormi pas. Il pensait à sa rivale, encore. Chacunes de ses pensées étaient pour elle. Il regrettait les mots qu'il avait prononcé. Pas parce qu'ils avaient été dits comme ça, sur un coup de tête. Non. Il les regrettait car il pensait ce qu'il a dit. Comment tout cela avait bien pu arriver. Le vague à l'âme. La passion le ronge.  Il a souvent été mal. Rongé d'angoisse et de culpabilité. Mais jamais il ne s'était senti aussi plus mal qu'en ce jour. Il cherche le sens des choses. Il ne peux pas expliquer ce qu'il ressens. Ce serait stupide d'expliquer ce sentiment qui n'existe que dans soncorps. Il complétement rongé par une force qui le surpasse. Elle est là. Il en a peur. Il ne veux plus vivre, il veux juste qu'on 'aide au lieu de se servir de lui ainsi. Il a des crises d'existentialité parfois. Il devient incontrôlable, inconsolable. Il cherche constamment quelque chose qu'il ne trouverai pas. Pourquoi ? Parce que ça n'existe pas. Il suis dangereusement atteint. Que quelqu'un l'aide! Il lui arrive de ne plus pouvoir respirer. Alors le jeune homme respire bruyamment de l'air qui ne veut pas rentrer dans ses poumons. C'est son âme qui étouffe, pas son corps. Il est malade d'un membre qu'on ne peut guérir. Peut-on même toucher une âme ? Peut-on même voir ô combien elle est déchirée. Longtemps il a cru que les choses étaient ce qu'elles étaient. Mais rien n'a de sens. Les mots mis les uns à la suite des autres ne forment plus rien pour lui. Comment faire comprendre que rien n'a de sens. Son esprit est prisonnier d'un monde qui le tue lentement. Si seuleument on pouvait lui ôter cette douleur. La mort est plus douce que la vie pourtant il en a peur. Des gens meurt pour les autres et lui se sent mourrir seul et sans aider personne. Il faut dire qu'il ne vis pour personne non plus. 

Au levé du jour, le garçon se leva, prit un morceau de parchemin, et écrit rapidement : «Je pars achever ma mission, ils auront besoin de toi au château. Prends son de toi, Granger. D.M » 

Il fit apparaitre le bout de papier sur la table de la tente d'Hermione, en espérant qu'au petit matin elle le trouverait. Il ne pouvait pas l'empêcher de se battre. C'était pour cela qu'elle vivait. Il savait qu'il fallait mettre un terme à tout cela. Cette guerre qui dure depuis trop longtemps. "Aller Draco, ça sera bientôt fini. prend enfin un parti." se dit-il à lui-même. 

 Il prit son courage à deux mains, ou du moins le peu qu'il pouvait avoir. Il s'en alla avec ses affaires. Il transplana devant un lieu sombre et peu accueillant, un endroit qu'il ne connaissait que trop bien : Le manoir Malefoy. Deux mangemorts étaient de garde, mais assoupit.

-Super la surveillance, Père en entendra parler. Dit-il à voix haute pour lui-même.

Il entra, longea un couloir noir où arborait des portraits des ancêtres Malefoy, et se dirigea vers le salon. Tout étais comme d'habitude. Sinistre. De jour comme de nuit, tout était sombre. Il avait beau avoir grandit ici, il se sentait comme un étranger chaque fois qu'il passait la porte. Il frissonnait à chaque pas effectués qui l'entrainer vers le salon.  Il vit sa chère et tendre mère. Narcissa se jeta à son cou et son père parut surpriset mécontent de le revoir.

-Bonjour Mère. Père. Je suis revenu comme convenu, Maitre. Dit froidement Draco.

-Et avec un peu d'avance à ce que je vois. Ricana une ombre assit dans un fauteuil de cuir vert émeraude. IL était là et prêt pour la guerre. Sa peau blanche contrasté avec toute cete noirceur quil'entourait, pourtant, c'était le pire homme de tous les temps. Voldemort.

-Je ne fais jamais attendre le seigneur des ténèbres. Acheva Drago. J'ai désormais la confiance de la sang-de-bourbe.

Dramione, tout simplement. (En Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant