{Jean X Reader} Je ne rêve pas [PAUSE]

5. Mauvaise blague

[t/p] ton prénom.
[t/n] ton nom.
[c/c] ta couleur de cheveux.
[c/y] ta couleur d'yeux
[c/f] ta couleur favorite.

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(NDA: Regardez cette image omg!!!!!!)

Pov Reader
Cela fait une semaine que j'ai atterie dans ce monde, je me suis habituée à ma nouvelle routine avec ma place à table, les horaires, et à mes nouveaux amis, que j'ai appris a connaitre et a apprécier.

Malgré tout cela il y avait une personne que je ne pouvais traiter comme les autres: Jean. Plus le temps passait plus je me rendais compte du réel amour que j'éprouvais envers lui. Chacun de ses regards me faisait fondre. Mais je ne pouvais lui avouer ce que je ressentais. Pourquoi? Car j'ignore si l'amour à sa place dans l'armée, donc jamais je ne ferais pas le premier pas, je ne veut pas gâcher se qu'on a construit ensemble. Le fait que je me lie d'amitié avec les autres ne nous a pas éloigné car nous nous voyons toujours pour que j'apprenne le combat.

Comme chaque soir après l'entrainement j'allais me doucher. J'entrai dans la pièce embuée à l'air chaud et humide. Aujourd'hui c'était extrêmement désorganisé, tout le monde était arrivé en même temps aux douches, certainement à cause de la forte pluie qui c'était abattue sur nous pendant l'entrainement et qui a interrompu celui-ci.

C'était une immense salle séparait en deux. Un côté fille et l'autre garçon. Contrairement à ce que l'on pourrait penser c'était des douches individuelles. Chaque douche était séparées par deux murs et un rideau.

Un plan yolo pour voir plus claire X)

La vue que l'on a quand on entre (best dessin ever X).

Je me dirigea bien évidement du côté des femmes, plus je m'enfonçais dans la pièce plus il faisait chaud. Le bruit de l'eau couvrait les nombreuses discutions des autres filles autour des lavabos. Je regarda les douche. Une seule cabine était vide, et c'était celle que je ne supportais pas; la première.

Je me glissa tout de même à l'intérieur, referma le rideau et déposa mes vêtement propres ainsi que m'a serviette sur le haut du mur. Je me déshabilla et posa mes vêtements sale toujours sur le mur mais à côté des propres.
Je me lavais de la tête au pied puis coupais l'eau. Je tendais le bras et tirais ma serviette pour m'y sécher. Jusque là tout me paraissait normal mais c'est quand je voulu me rhabiller qu'un problème de taille arriva. Mes vêtements avaient disparus, les propres comme les sales, seul survivant ma serviette blanche. Je pensais d'abord qu'ils étaient tombés mais dans ce cas, pourquoi ma serviette ne serait pas parterre également?
Pendant dix minutes j'étais en train de tergiverser pour savoir si je devais ou non sortir en serviette. Oui dix minutes...