J'ai toujours entendu les gens dire que l'amour n'a pas d'âge, ni de sexe, mais tomber amoureux du petit copain de sa mère ai-je le droit ?
Je m'appelle Harry Styles j'ai 15ans et je suis tombé irrévocablement et inconditionnellement amoureux du p...
J'étais sur le point de prendre le bus, quand Louis a proposé de me ramener à la maison. J'ai refusé en prétextant aimant prendre le bus, mais il a insisté alors j'ai accepté.
- Alors, ta journée ?
J'étais sur le point de lui répondre qu'elle a été ennuyante et fatigante, mais sa main venant se poser sur ma cuisse m'en a empêché. Je sais qu'il n'y a pas d'arrière-pensées derrière ce geste et que Louis est seulement très tactile mais ça me gêne. Je fixe sa main sur ma cuisse : je la trouve jolie, très jolie. Je n'y avais jamais vraiment prêté attention.
Quand il prend la rue à droite, sa main glisse entre mes cuisses à quelques millimètres seulement de mon entrejambe. Ma respiration se coupe, ma cuisse me brûle. Une chaleur agréable prend place dans mon bas-ventre, des milliers de papillons prennent place dans mon ventre. Une part de moi-même espère qu'il retire sa main, mais de l'autre, je souhaite qu'il la laisse, qu'il caresse ma cuisse. « C'est ton beau-père, Harry », hurle ma conscience. Louis semble remarquer où se trouve sa main, car il l'a retire. Les papillons, la chaleur tout disparait en même temps que sa main. Il se racle la gorge, je baisse la tête, les joues en feux, mal à l'aise. J'ai l'impression que le trajet dure des heures tellement je me sens mal alors qu'en réalité j'habite à seulement 20 minutes en voiture. Quand on arrive enfin devant la maison, je sors de la voiture et prends une profonde inspiration.
En rentrant à l'intérieur, j'embrasse ma mère sur la joue et je monte dans ma chambre. J'allume mon ordinateur. Le temps que mon ordi s'allume, je repense à ce qu'il s'est passer dans la voiture. J'ai voulu que le mec de ma mère me caresse la cuisse. Je dois penser à autre chose. Mon ordi enfin allumé, j'y branche mes écouteurs.
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La respiration saccadée, mes mouvements de poignées s'accélère sur mon sexe, mes hanches se soulèvent, mon corps se crispe prêt à jouir, quand la porte de ma chambre s'ouvre.
- On va.. Oh..
La porte se referme aussi vite qu'elle s'est ouverte. J'arrête tout, je remonte mon jogging, ferme mon Pc.
- Je... Désolé... J'aurai dû toquer... mais ta mère t'a appelé deux fois... On mange.
- J... J'a... J'arrive.
J'entends le craquement des escaliers. Je ne veux pas sortir de ma chambre, je ne veux pas affronter son regard... Je suis mort de honte... Je... Pourquoi je n'ai pas attendu la nuit que tout le monde dort pour faire cela ? Pourquoi...
- Harry dépêche toi ou c'est moi qui monte.
Je me lève, replace correctement mon jogging, éteint mon Pc, et je descends à pas de souris. Ils sont déjà assis à table.
- Dépêche toi, ça va être froid.
J'hoche doucement la tête, je m'assieds à ma place. Ce soir c'est saucisses et frites. D'habitude j'aurais mangé mes saucisses avec les mains mais pas ce soir : pas après ce qu'il vient de se passer. Pas après que Louis m'ait surpris en train de me masturber sur un porno gay. Pas une seule fois de tout le repas, j'ai osé lever la tête. J'ai honte, bon Dieu que j'ai honte.
- Harry ? Je relève la tête vers ma mère. Ça va?
- Oui...
- D'accord, tu veux de la glace à quoi ?
- Chocolat, s'il te plaît.
- Une ou deux boules?
Ma mère veut ma mort ou quoi ? Louis se racle la gorge et se met à tousser. C'est la première fois depuis le début du repas que j'ose affronter son regard.
- Désolé j'ai avalé trop vite.
Je ne sais pas s'il ce rend compte de ce qu'il vient de dire, s'il se rend compte à quel point sa phrase peut être perverse. À quel point sa phrase me fait de l'effet.