XI

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Il ne me laisse pas le temps d'y réfléchir qu'il commence déjà à frotter son bassin contre le mien, ma respiration ce bloque lorsque je sens son membre dur frotter contre le mien. Mon sexe s'enflamme. Ses mouvements sont lents, beaucoup trop lentement à mon goût. Quand il appuie un peu plus fort, je me cambre. Surpris de la sensation je rigole, tellement ce qu'il veinait de faire était bon, délicieusement bon.

- Tu aimes ça pas vrai ?

Ses yeux ne quittent pas les miens. Je regarde son visage, et son corps basculé d'avant en arrière. Je hoche la tête, bien sûr que j'ai aimé, même adoré. Ma réponse le fait sourire. Au plus il se frotte contre moi au plus j'ai envie de le toucher. Je pose mes deux mains sur ses fesses, je les malaxes. Louis soupire fortement en embrassant mon cou. J'appuie fermement sur ses fesses pour qu'il aille plus vite et plus fort. Ce qu'il fait à ma plus grande satisfaction. Il arrête tous mouvements, je ne comprend pas pourquoi, je ne veux pas qu'il arrête.

Heureux de voir qu'il ne compte pas s'arrêter là, il ouvre ma braguette ne prenant même pas la peine de retirer complètement ma ceinture qu'il retire mon jean qui, très vite, comme pour son tee-shirt rejoint le mien. Je déglutis difficilement en voyant son sexe par-dessus son caleçon. À part le mien j'en avais jamais vu d'autres, en vrai. Il se replace sur moi et continue ses mouvements. Cette fois-ci au lieu d'aller seulement d'avant en arrière il fait aussi de petits mouvements rotatifs. De plus en plus vite et de plus en plus fort.

J'en veux toujours plus alors je bouge moi aussi mon bassin en me cambrant légèrement. Une vague de chaleur m'envahit tout mes muscles se contractent. J'ai l'impression de perdre la tête tellement le plaisir que je ressens à cet instant est fort. Ma respiration s'accélère, mes hanches se soulèvent, je suis parcouru de spasme violent, je ne contrôle plus mon corps, je ne pense à plus rien sauf à mon besoin de jouir. J'embrasse fortement Louis lorsque je me libère enfin. C'est la première fois que l'un de mes orgasme est aussi violent.

- Putain, il est quelle heure ?

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- Putain, il est quelle heure ?

Louis se redresse je ne sais pas ce qu'il fait et pour être honnête je n'en ai rien à foutre. Le toit peut me tomber sur la tête je me sentirais toujours aussi bien. Je fixe le plafond, je ressens encore des picotements dans tout le corps. 

- Tu m'as fait jouir. Ne me demandez pas pourquoi je lui dis cela, je ne le sais pas moi même.

- Lève toi, ta mère ne va pas tarder. Je souffle fortement, je ne veux pas bouger. J'ai envie qu'il revienne sur moi et que l'on recommence. Il me tend sa main, pour m'aider à me relever. Difficilement j'enfile mon jeans, mes muscles sont encore engourdis. Ce qui me fait sourire. 

- Toi par contre tu es dans la merde. Je rigole en voyant la bosse encore bien présente dans son caleçon. Tu ne te rhabilles pas ?

- Non, je vais me soulager avec ta mère. En une fraction de seconde mon sourire disparaît, outch ça fait mal. 

- Connard. 

Je n'écoute plus ce qu'il dit, je ramasse mon tee-shirt et je pars vers l'escaliers. 

- Et les chips alors ? 

- Va te faire foutre.

Mon beau père. (MATURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant