Mon beau père. (MATURE)

VI

- Préfère tu te donner du plaisir devant un porno gay ou hétéro ?

À dire vrai je n'ai regardé qu'une seule fois un porno hétéro, est-ce que ça ma plus ? Bof. Je sens mes joues virées au rouge tellement sa question me gêne. 

- Pourrait-on arrêter de parler de ma sexualité s'il te plaît ? C'est extrêmement gênant..

- Je ne vois pas en quoi c'est gênant.. C'est normal qu'à ton âge tu te cherches.

Je me rends vite compte que j'ai baissé la tête quand ses chaussures apparaissent dans mon champ de visons. Il me demande une seconde fois de le regarder alors je le fais. Louis est appuyé contre son bureau, ses yeux bleus me fixent, détaillent chaque centimètre de mon visage. Nos regards se croisent la chaleur agréable dans mon bas-ventre ainsi que les papillons de la dernière fois reviennent. Nos regards ne se lâchent plus, de temps en temps je me surprends à fixer ses lèvres.

- Si tu veux, je peux t'aider à te trouver. Je ne réagis pas tout de suite à ces mots bien trop concentrés à regarder ses lèvres rosés qui ont l'air tellement douce. Je peux être ton Daddy, si tu le souhaites bien sûr.

- Mon Daddy ? Je demande tout en continuant d'être absorbé par ses lèvres.

- Je peux t'apprendre beaucoup de chose Harry. Mais il faut que tu sois d'accord. Je ne comprends pas très bien ce qu'il dit mais sa voix ainsi que ses lèvres me rendent dingue. Quand son pouce se pose sur ma lèvre inférieure, je frisonne de la tête aux pieds. Nos regards toujours ancrés il passe et repasse plusieurs fois son pouce sur ma lèvre. C'est caresse réussisse à enflammer mon bas-ventre, je sens mon sexe durcir a une vitesse folle. Je gesticule nerveusement en fermant les yeux. J'ouvre la bouche, cherchant à retrouver une respiration correcte.

- Veux tu que je sois ton Daddy Harry ?

- Sois mon Daddy.

Il me prend la main, me forçant à me lever. Je me sentais déjà petit en étant assis mais maintenant que je suis debout face à lui c'est encore pire. Ses mains viennent se poser sur mes hanches me rapprochant de lui. Sa tête par se nicher dans mon cou. Je suis figé sur place. Il embrasse mon cou, il aspire ma peau, il la mord. Je sens quelque chose d'humide, quelque chose de chaud qui vient remplacer ses lèvres. J'agrippe ses cheveux tellement je me retiens de gémir. C'est tellement bon alors qu'il embrasse seulement mon cou. J'avais raison ses lèvres sont incroyablement douce. Je me cambre contre lui lorsqu'il appuie fortement sa main contre mon entrejambe déjà bien gorgé de sang. Il rit, un rire diabolique, un rire qui me fait vibrer de l'intérieur.

- C'est bien ce que je pensais, dit-il en ce reculant. Demande a une fille de te faire la même chose et si tu bandes aussi dur que maintenant ça voudra dire que tu es bi, si tu ne bandes pas autant c'est que tu es gay, Frustré et très en colère je m'avance vers la porte, j'abaisse la poignée.

- Ouvre moi la porte.

- Bien sûr.