Désespoir

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Je crois qu'ils ne s'étaient pas seulement contenter de prendre toutes les affaires.

Il était 5h j'entendais des klaxons de voitures, le bruit des personnes...
Je sentais que ma tête était posée sur quelque chose de solide on aurait dit que c'était les cuisses d'un homme.
J'avais très froid et je tremblais.
J'ouvre les yeux mais je ne vois que du jaune avec des cheveux longs devant mon visage.
Je voyais flou c'est comme si y avait un brouillard mais non rien de tout ça.

: Eh oh?
T'es là ? Jaïra?

Moi: Ahkim.
J'étais grave choquée qu'est ce qu'il faisait encore là.
Ce mec là me saoulait à chaque fois il était là , dès que je suis dans la merde il est là.

C'est peut être le destin ?
Non non Jaïra oublie ça t'a assez de problèmes comme ça ce n'est pas le moment.

Moi: qu'est ce que tu fais ici?
J'étais pas du tout sociable.

Ahkim: Détends toi d'abord.

Moi: tu me demandes de me détendre alors que je suis dans la rue.
Et ma réputation ? T'en fais quoi?

Ahkim: on va faire ceci: on va chez moi tu te reposes et après je te raconte tout ce qui s'est passé.
Tu veux?

Moi: je râle un instant . Mais je finis par accepter surtout que c'était pour mon bien.

Sa voiture était garé devant nous.
C'était une Mercedes.
Il avait l'air d'un gars plutôt pauvre surtout qu'il était commerçant pour moi être commerçant ça paie pas.

Moi: où sont mes affaires?

Ahkim: je les ai mises dans le coffre de la voiture.
Allez monte.

Je voulais monter devant. Il me dit non monte avec moi devant.
J'étais assez narcissique , je ne voulais pas le faire confiance , je me méfiais de lui surtout que je ne le connaissais pas entièrement.
Mais bon il avait l'air d'un mec bien.

Pendant le trajet

Personne ne parlait.
Il avait mis du *amour assassin* de fally Ipupa c'est comme s'il connaissait mes goûts.
C'était ma chanson préféré.
Il se met à chanter : Nga na jusqu'au point mayi Ya miso é ségui pardon é réclamer perfusion...

Je me mets à rire.

Moi: ah les arabes aussi écoutent ça

Lui: c'est une chanson ou pas?

Moi: Si
Je commençais à être impatiente , on arrivait toujours pas chez lui.
C'était grave loin.

: on arrive quand ?

Lui: Bientôt calme toi.


On arrive enfin chez lui. C'était une grande maison rohla il devait être immensément riche.
Il avait des chiens et une biche.
Il se gare.
Et là je vois une dame venir vers lui.
J'avoue j'étais assez jalouse parce que arh je ne sais même pas pourquoi.

La dame : bienvenu Monsieur !

Moi : j'étais soulagée ce n'était que son employé.

On entre dans la maison et là je vois une petite venir le sauter dessus.

Elle: Papa! Tu étais où ?

Ahkim: chéri je t'expliquerai plus tard.

Moi: Ahkim t'a une fille?

Ahkim: oui bien sûr

La petite fille: c'est qui celle là papa?

Ahkim: c'est ta tata

La petite fille: c'est la soeur de maman?

Ahkim: non c'est seulement tata.

La petite fille: Non c'est ton amoureuse papa.

ahkim: accompagne ta tata dans sa chambre.

Elle: D'accord.

On monte alors à l'étage. Toutes les pièces de la maison étaient grandes.

Elle m'installe dans une chambre, je prend mon bain.
J'étais grave fatiguée donc je m'allonge sur le lit et me repose.

Une étoile, une vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant