~6~ Tu le regretteras

1.7K 153 15
                                    

"À trop vouloir jouer avec le feu tu finiras par te bruler"

*Flash*

Le mal finira-t-il par nous détruire. Suis-je entrain de subir une malédiction. Rien n'aurait du se finir ainsi.

Réduit à néant, je cherche cette issue qui m'aiderai à m'échapper. Je cherche ce rayon de soleil dans ce trou sombre.Tu aurais pu être ce rayon mais j'en doute fort.

Encore une fois, je n'ai pas tenu ma promesse.

Lacher prise, et bien c'est ce qu'il y a de mieux à faire. Vous ferais-je honneur, cette question reste sans réponse.

Il disait 1 de perdu 10 de trouvés et bien je cherche toujours puisque j'en ai perdu 1 et 10 autres ont suivi. Tous leurs proverbes sont bien mensongés.

Il nous dise de ne pas perdre espoir et bien je me demande où faut-il le retrouver lorsque nous l'avons déjà perdu.

Jeune âme perdu, construction sans mur porteur, voyage sans destination, enfant sans appui,
Vie sans but.

~~~~~~~

J'étais dans ce parc avec Tahira, Riad et la voisine depuis plus d'une heure. Je me sentais bien, j'étais à l'aise. Je mettais retrouver loin de cette ambiance pesante qui perdurait à la maison.

Moi: Savez-vous où ont lieu les plus grands affrontements ?

La voisine: Homs, Alep et Qudsaya.

Moi: Mais la ville Qudsaya est près de Damas, elle est dans la banlieue vers l'ouest.

La voisine: Je sais ma fille, il ne nous reste plus qu'à prier Dieu pour qu'il nous aide.

Moi: Vous pensez qu'ils peuvent prendre la ville de Damas ?

La voisine: Je ne sais pas ma fille mais espérons que tout cela n'arrive pas.

La boule au ventre, une boule d'angoisse. J'avais peur de ne plus jamais pouvoir m'en aller mais j'avais peur aussi pour ces pauvres syriens.

Mais bon, après tout nous sommes à Damas et Damas est la capitale donc ils doivent y renforcer la sécurité.

Les enfants ont passés l'après-midi à jouer et moi je l'ai passé en discutant de l'avenir du pays avec la voisine. Malgrès que je ne la portait pas spécialement dans mon coeur, j'aimais m'entretenir avec elle.

On est ensuite rentré, et dans la petite ruelle on a vu un 4x4 et pleins de bagages posés devant la maison de la voisine. La voisine s'est mise à courir pour prendre une très jolie femme dans ces bras.

Oh, cette femme devait être sa fille, derrière il y avait une autre petite fille. En un seul mot Beurk, elle aussi était jolie enfaite mais c'est la fille que je vous ai dit que je détestais donc belle ou même magnifique à vrai dire je m'en contre fiche.

Elle s'est approché de moi avec son horrible sourire d'hypocrite et elle m'a prise dans ces bras.

Elle: Youmna ! Comme tu m'as manqué

Oh mon Dieu mais elle croit vraiment que je vais la laisser me toucher...jamais, plutôt mourir.

Je l'ai bousculé et m'apprétait à rentrer chez moi quand elle s'est mise à jouer la comédie comme elle sait si bien le faire, en lachant quelques petites larmes cherchés au plus profond de son être.

Elle: Pourquoi tu me repousses *snif*. Je me suis mise en question et j'ai compris que j'ai été mauvaise avec toi, j'ai voulu changer pour que tu me donnes une seconde chance.

Youmna «Histoire D'une Miraculée»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant