79 jours d'horreurs (Fiction de One Direction)

Chapitre 5

Chapitre 5 : 

Moi : Coucou...papa.

Et oui, mon père travail au poste de police, il est d’ailleurs un des meilleurs policiers de la région, pourquoi il n’a pas essayer de me chercher ? Vous allez bientôt le savoir, tout autant que moi. Je le vois entrain de se retourner, bouche-bée, il échappe sa tasse de café par terre et me saute au coup mais je le repousse...

Mon père : Astrid ? C’est toi ? Mais tu es vivante ?!!
Moi : Oui imagine toi ! Et toi ?!! T’as fait quoi tout ce temps ?!? Tu prenais ça relaxe et tu te disais : par grave, une de perdu, 10 d’retrouver ?
Mon père : Je t’ai chercher, mais tu étais cacher où ?
Moi : J’étais caché où ? J’ai été enlevé espèce d’idiot ! Je jouais pas à cache-cache ! Pendant plus de 79 jours j’ai souffert, on m’a battu, violé et pleine de chose atroce comme telle ! Et toi, tu prenais ton café ben relaxe et tu croyais que je jouais à cache-cache ?
Mon père : Mais comprends moi...
Moi : Comprendre quoi !?! En ?!? Dit-moi ! J’étais rien pour toi ?!? Tu aurais dû me le dire bien avant ça ! Et maman c’est pareil pour elle c’est ça ?!? Et ben je vais te dire quelque chose...
Mon père : TA MÈRE EST MORTE !!
Moi : quoi ... ?
Mon père : Ta mère est morte et est-ce que tu sais pourquoi ? Car elle te cherchait sans cesse dans les rues de Londres, 24h/24h à ta recherche et un jour, sans était trop pour elle et elle mouru d’une crise cardiaque.
Moi : Tu sais quoi papa ? Tu me répugne car de 1, tu ne m’as jamais aimé et de 2. Tu mets la mort de ma mère sur MA faute ? T’es pathétique. Je te déteste et je ne veux plus jamais te revoir. Pour moi, t’es mort.

Je me tourne et partie direction la porte et tout le monde me regardait, je claque la porte et partie dehors furax. Je marchais dans la rue et tout le monde me regardait en disant : Elle n’avait pas disparue celle-là ? Et oui, c’est ça, et en plus, il fallait que j’entende quelqu’un crié mon nom en plus, c’est la goutte qui fait déborder le vase...

Moi : C’EST BON EN ! JE SUIS PAS MORTE JE LE SAIS ALORS LÂCHEZ-MOI ESPÈCE DE SALS ENFOUARRERS !

Je m’accote sur un mur un peut plus loin et commence à pleurer, j’en ai assez de ma vie. J’aurais peut être du mourir. Je croyais être enfin libre mais non, c’est pire qu’avant, mamère est morte. Mon père n’est qu’un trou de-cul...même s’il l’a toujours été, j’ai perdu tous mes amies...j’ai perdu tout, même Austin, la personne que j’aimais le plus, après ma mère bien sur. J’étais entrain de réfléchir quand j’eu l’initiative de me lever et aller voir les autres, de toute façon, que pourrais-je faire d’autre ?

*arrivé à la villa des boys*

Eleanor : Alors bella, est-ce que ça c’est arranger ?
Moi : Ouais, on peut dire ça...
Eleanor : Sinon, les autres sont dans le salon entrain d’écouter la télé, tu viens ?
Moi : Ouais je sais pas, j’ai envie de faire autre chose, de me changer les idées aller ailleurs...
Eleanor : Ailleurs ? Genre à Cuba ?
Moi : *petit rire* Non, je veux dire, faire quelque chose...
Eleanor : Comme quoi ?
Moi : Je sais pas...j’ai envie d’aller voir une partie de hockey, ça fait longtemps que j’en ai pas vu...normal puisque...bref...
Eleanor : Okidou alors direction la patinoire...ben en faite, plus tard car la partie commence dans 1h30 donc...
Moi : Ok alors on fait quoi avant ?

Eleanor allait me répondre quand Zayn arrive en faisant signe à Eleanor de nous laisser seul...

Zayn : Faut que je te parle...
Moi : J’ai pas envie...
Zayn : Attend, je veux m’excuser, pour tout à l’heure et...
Moi : Pas besoin de t’expliquer, des mecs comme toi, j’en ai pas besoin dans ma vie alorsj’ai pas envie de parler avec toi un point c’est tout ! ...Bon, moi je vais voir les autres.

Je le laisse là en disant rien, j’ai peut être été bête avec lui mais comprenez-moi, j’en ai marre des garçons qui foutent ma vie en l’air alors plus je suis bête avec les garçons, plus ils me détestent et moins de chance de tomber amoureux d’eux...bref...c’était déjà tout calculer. Depuis que j’ai été enlevé, je me suis promit de ne plus jamais faire confiance ou croire en un garçon, j’ai déjà souffert alors je passe la puck à quelqu’un d’autre. Je suis très loin d’être la fille comme avant, moi, Astrid, la fille gênée et douce qui a toujours adoré le groupe One Direction, et oui, je l’ai AIMAIS...plus maintenant, aimais est un grand mot. Je ne suis pas sur terre pour être aimé par quelqu’un, encore moins aimé quelqu’un alors qu’on en continu ainsi. Je sortie enfin de ma bulle pour me diriger dans le salon, je m’assied à côté de Eleanor alors qu’il y avait une place à côté de Harry, mais comme j’ai dit, plus je me tiens des garçons, mieux je me sens...

Eleanor : Alors, on fait quoi ?
Tous : J’ai sais rien !
Harry : Je veux pas paraitre indiscret mais comment vous vous êtes connu les filles ?

Et voilà, la phrase que je ne voulais pas entendre, il va falloir que je leur balance toute l’histoire...

Moi : Trop longue histoire...
Eleanor : Je sais que c’est dur poulette, mais il va falloir que tu leur dises un jour...

Je me lève et partie en courant les larmes au yeux. Je n’arrêtais pas de penser à lui, lui qui me hante, celui que je ne veux pas penser, mais je n’y arrive pas. Je l’entend encore dire toute sorte de chose telle que << Aller petite pute, on va s’amuser >> ou même << Alors, tu t’es bien amuser ? >> et encore << Entend, je reviens avec ma ceinture pour que ce soir plus excitant >> Ma vie ne reviendra jamais normale, et ça, je le sais déjà. Je pleurais, pleurais de toute mes forces en courant dans la rue quand je fonce dans Zayn, il manquait plus que lui !!

Zayn : Astrid ?!? Mais qu’est-ce que tu fais là ? Et pourquoi tu pleures ?
Moi (qui sèche mes larmes) : Et toi, qu’est-ce que tu fais là ?
Zayn : Je suis aller prendre une marche après que tu m’es envoyer promener...mais c’est pas ça l’important, dis-moi pourquoi tu pleures.

Je me retourne et prit mon chemin quand il me prit par le bras, je me retire d’un coup sec et le gifle...

Moi : Touches-moi plus jamais !
Zayn : AIE ! Je veux seulement t’aider, pas besoin de me frapper pour ça.

Je partie m’asseoir sur un banc, toujours entrain de pleurer, Zayn s’assied à côté de moi mais je me tasse pour être le plus loin de lui...

Zayn : Dis-moi ce que tu as à la fin ! Je veux savoir !
Moi : C’est pas de tes affaires !
Zayn : Je m’en fou, je veux savoir pourquoi tu m’as gifler.
Moi : Fait pas ça Zayn, tu vas le regre...
Zayn : Et je veux savoir pourquoi tu m’as dit tout à l’heure 79, c’est quoi que ça veut dire ?!?
Moi : Zayn, pousse-moi pas about !
Zayn : Alors !?! Que veut dire 79 !?!
Moi : Je veux pas...
Zayn : Dit-le oui sinon je vais te forcer à le dire...

S’en était trop, je peux plus me retenir, j’ai déjà été assez forcé comme ça alors c’est moi qui dirige ma vie et certainement pas ce cave à la noix !

Moi : J’AI ÉTÉ ASSEZ FORCÉ COMME ÇA ALORS TU VAS ME LÂCHER LES BASKET OK ?!? TU SAIS CE QUE ÇA FAIT DE SE FAIRE BATTRE ET VIOLER À TOUS LES JOURS PENDANT 79 JOURS ?? MOI OUI !! J’AI VÉCU ÇA !! MA MÈRE ET MORTE ET MON PÈRE EST UN CONNARD !! ALORS MA VIE EST TRÈS LOIN D’ÊTRE À L’EAU DE ROSE ALORS LÂCHE MOI OK ?!? SINON TU VAS VOIR, LA PROCHAINE FOIS, JE VAIS PAS HÉSITER À T’EN FLANKER UNE!

Je m’écroule par terre en pleurant comme une conne pendant que Zayn était figer, ne s’avant quoi dire, là au moins, il va se la fermer...

Zayn : ...Je suis désoler As...
Moi : Ne m’adresse plus la parole ok !?!
*silence* 
Zayn : Si seulement j’avais su...
Moi : *me levant devant lui* Et même si tu l’aurais su, ça aurait changé quoi !?! En ?!? Dit-moi ! J’ai beaucoup souffert, tu peux pas imaginer à quel point, j’ai voulu mourir, et je n’ai aucune raison de vivre alors je ne sais pas pourquoi ça changerais.
Zayn : Je suis...
Moi : Je m’en fou Zayn OK !?! Tu ne me parles plus, je ne te parle plus, tu fais comme si j’étais plus là et je fais comme si tu n’étais plus là. C’est comme ça et c’est tout ! Bye.

C’était les derniers mot que je lui avais dit avant de partir, et c’était les derniers mots que j’allais lui dire pour le reste de ma vie. Des gars comme lui qui vont tout gâcher, j’en ai pas d’besoin. Je marche toujours mais cette fois, j’ai fait demi-tour, j’allais tout leur balancer, j’étais prête maintenant, prête à tout leur dire, comme je l’ai fait à Zayn. J’étais revenu à la villa des garçons, ils me regardaient tous stupéfaits, sans rien dire...