79 jours d'horreurs (Fiction de One Direction)

Chapitre 15

Chapitre 15 :

Je t’aime Astrid, c’est la dernière chose que Zayn m’a dit avant de s’évanouir. Tout ça, c’est de ma faute s’il est en ambulance. Je me mets à pleurer même si cela n’arrangerait rien. Je suis présentement sur les marches d’entrée de la scène de ‘’crime’’ car les policiers me posent une tonne de questions au sujet de Bob, et de Zayn car il a eu un couteau au ventre et de moi, ils veulent savoir ce que Bob m’a fait et toute l’histoire du début à la fin. J’en ai mal au coeur. Surtout que mon père n’a pas voulu venir, mais c’est vrai, j’ai oublié, je n’ai pas de père voyons ! Après avoir fait le tour de toutes les questions, ce qui a prit une heure pour préciser, j’ai été à l’hôpital pour toutes les blessures que j’ai eut. Je dois aussi me faire analyser pour je ne sais quoi et autre chose du genre. J’ai demandé d’être dans la même chambre que Zayn mais les infirmières n’ont pas voulu et j’ignore pourquoi, je m’attends au pire. Vous allez surement me demander si les autres sont au courant ? Eh bien oui, bien évidement, ils sont venu dès qu’ils l’ont su. Mais je n’ai pas pu les voir à cause qu’il fallait que j’aille tout à bord faire mes analyses et toute la merde qui suit. Après 20 minutes dans une salle enfermer des autres, l’infirmière a laisser Eleanor entrer le temps qu’elle aille faire le diagnostique...

Eleanor : Ma puce, j’ai tellement eu peur ! Me dit-elle en me sautant dans les bras.

Moi : T’inquiète, je suis vivante, mais Zayn lui, comment il va ? Dis-je inquiète.

Eleanor : Nous ne savons pas encore, il dort.

Moi : ...tout ça, c’est de ma faute...

Eleanor : De quoi ?

Moi : Si Zayn est dans un lit d’hôpital.

Eleanor : Mais dit pas ça ! C’est faux !

Moi : C’est quand même pas de sa faute s’il a eu un couteau dans le ventre...rien ne serait arrivé si je ne saurais jamais venu déranger votre vie. 

Eleanor : Mais qu’est-ce que tu dis là ! Tu as changé nos vies bien évidement, mais en mieux. Zayn n’a jamais été aussi de bon humeur depuis que tu es là. T’as peut être ton petit caractère, mais tu es toujours aussi drôle et attachante. On t’aime et tu nous as apporté que du bonheur cocotte !

Moi : T’es sérieuse ?

Eleanor : Bien évidement !

Moi : Je t’aime Eleanor. Dis-je en lui tendant les bras.

Eleanor: Moi aussi ma belle. Dit-elle en me donnant un gros câlin.

Jeanne (l’infirmière) : Euh, pardon de vous dérangez pendant vos retrouvailles mais j’ai le résultat.

Moi : Et ça donne quoi ?

Jeanne : Est-ce que votre amie peut rester ou vous préférez être seule ?

Moi : Elle peut rester bien évidement, qu’est-ce qui peut bien arriver de si pire pour qu’elle parte ?

Jeanne : C’est que madame, nous avons fait des testes et vérifié à plusieurs reprises et...désoler de vous dire mais, vous êtes enceinte.

Moi : QUOI !?! J’ai un enfant de ce monstre !!?!!Jeanne : J’ai est bien peur oui...

Je me mets à pleurer en me réfugiant dans les bras d’Eleanor. Mais qu’est-ce que je vais faire ? Une chose qui est sure, c’est que je ne garde pas cet enfant, trop de souvenir vont s’y rattacher et je suis trop jeune pour ça. Je fais signe à l’infirmière de sortir pour nous laisser seules moi et Eleanor et dès qu’elle est sortie, j’ai commencé à pleurer...