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Il pleut. Il pleut jusqu'à ne plus en pouvoir. Les larmes tombent et la vie s'effondre emporté par un tourbillon d'émotions. Il pleut. Il pleut encore. Et les larmes ne cessent qu'à l'approche du Grand. Il les stoppent tel un dieu. Il pleut. Et ça, il ne peut rien y faire.

L'arbre s'élève haut et fier.  Mais.. A t-on déjà choisi d'être ce que nous sommes ? Il pleut. Il pleut. Et je ferme ce tiroir pour en ouvrir un semblable. Le vent se déchaîne au son de ma voix qui sonne haute et forte dans cette salle où je lis mes lignes. Il secoue ceux qui le défie, et il s'agite menaçant les vivants. L'arbre est malmené. Le vent est maître. L'arbre se tient fragile. Le vent appelle la pluie. L'arbre se courbe. Pendant que le vent se cabre, prêt. Les vivants regardent, mais ils ne font rien. La nature observe, mais en vain, elle ne fait rien. Car c'est la nature elle-même qui se déchaîne fasse à nos yeux illuminés, apeurés et attirés. Le vent se calme ayant gagné. Laissant une pause, l'arbre se relève. Les vivants regardent et fuient apeurés d'être écrasés. Réduits en bouillis. Car la nature ne laisse aucun vivant derrière elle, si elle ne la pas choisie.

Quand on perd on se résigne à aimer.

Quand j'ai vue les rochers, j'ai vue ma liberté.

* * *

Texte écrit en 2014

* * *

Il n'y a rien à comprendre dans ce texte. Je l'ai écrit lorsque j'étais en vacances, en 2014, après un repas. Nous étions en pleine après-midi mais il faisait sombre ; le ciel étant encombré par des nuages pluvieux. Alors, pendant que je mangeais, des mots me sont venus à l'esprit et ils me paraissaient importants, poétiques. Je n'ai fait qu'observer la nature qui se tenait face à moi. Je n'ai fait qu'observer la nature dont j'étais séparée par une fenêtre.

Je ne tolère absolument aucunes copies. Je ne dis pas que mon texte est génial au point qu'on le copie ou qu'il est exceptionnel, non. J'ai juste toujours eu horreur des «oeuvres» plagiées. Donc, si mon texte est copié, je ne posterais plus sur cette histoire.

(Je suis juste effrayée d'être volée car  souvent je partage trop mes idées et il y a toujours quelqu'un pour la clamer haut et fort avant moi '-' )

25/03/16

Tout est un mot Où les histoires vivent. Découvrez maintenant