Chapitre 8

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Toute la semaine suivante fut éprouvante. Chaque jour après les cours, on se rendait chez Martin pour répéter le casse. Mon rôle était bien claire: je devais d'abord dévisser la grille d'aération pour que Émile puisse y en entrer puis je dois attendre qu'il ouvre la porte de le boulangerie. Ensuite je dois bomber le caméra de surveillance pendant que Martin force le coffre et on doit tout les deux récupérer le maximum d'argent. Facile. Le vendredi après-midi le stress est à son comble. Juste après le dernier cours ( maths ) je sors tu collège le plus rapidement possiblen mais Martin me rattrape dans la rue.

Matin : Qu'est ce que tu fais ? Pourquoi tu t'enfuis ?

Moi : J'ai besoin de calme avant le casse.

Martin : Si tu veux, et n'oublie pas chez moi à 21 heures précise.

Moi : Alors à toute à l'heure.

Martin : Ouais, à toute.

Il se retourne et repart dans le sens inverse. Je continue à marcher. "Pourquoi j'ai eu cette idée idiote de casse" dit une voie dans ma tête, " Oui, mais n'oublie pas Victor à besoin de toi" en dit une autre, "Victor, il ne ne parle plus à personne pourquoi on devrait l'aider il ne va même pas nous aider pour le casse alors ... " Plein de questions dans ma tête auxquelles je ne peux pas répondre. J'arrive en seulement quelques minutes chez moi. Je m'allonge dans mon lit sans même me changer et on réfléchissant, le sommeil me prend.

Je rêve que l'on est en train de faire le casse. Martin et moi forçons le coffre mais au lieu que ce soit des billets de banque à l'intérieur, ce ne sont que des billets de Monopoly . Puis l'image devient flou et me revoilà avec une tenue orange dans une prison. Je pleurs et je cris.

Moi : Aidez moi !!!!!

Un grand homme barbu entre dans ma cellule et me dit

L'homme : C'est l'heure.

Il me fait me lever et cris à haute voie .

L'homme : Dernière marche du comdanné.

Je marche en voyant toute ma vie défiler. Et dans les cellules voisines je reconnaît Martin, Émile et Erwan qui pleurent tous les trois. Arrivé pile devant le chaise éléctrique, je regarde une dernière fois ma mère et mon frère pleurant. Ainsi que Victor le regard vide, il me regarde et ne dit rien . Je m'assois sur la chaise et d'un coup le mort me prend...

Je me réveille, paniqué et en sueur, il est 19 heures 30 il faut que j'aille chez Martin. Je prends les affaires nécessaire pour le casse. ( des habits que je vais devoir jeter juste aprés le casse, un sac que je vais devoir aussi jeter ainsi qu'un peu de nourriture et une tente.) Juste le temps d'embrasser ma mère en me disant que la prochaine fois peut-être qu'elle m'en fera, je serais derrière des barreaux.

Les "Nutcrackers"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant