La nuit fut longue, douloureuse et remplit de haine envers Martin. Je ne sais pas pourquoi il n'est pas venu maisje sais justeque je vais le tue.Vers sept heures, Émile se réveille.
Émile : J'ai passé une nuit horrible.
Moi : Rien par rapport à moi. Je n'ai pas fermé l'œil.
Émile : Se casse à était un véritable fiasco. Je me demande où est Martin.
Moi : Il va me le payer.
Un grand fracas retentit. Vers la petite ruelle. Je me lève en trombe et vais voir ce qui se passe. Les forces de l'ordre enlèvent les poubelles et mettent une échelle.
Moi : Vite, il faut y aller.
Je réveille Erwan.
Erwan : Qu'est qu'il y a ?
Moi : Les flics arrivent on y va.
Nous partons tous les trois en direction des toits. Nous favorisons les toits plats. Arrivé aux bords du toit. Une seule solution s'offrent à nous.
Moi : On va devoir rentrer chez les gens.
Erwan : Quoi ? T'es pas un peu malade ?
Moi : Tu vois une autre solution. Sauf si tu veux sauter ?
Erwan : Ok, mais on y va vite.
Je saute sur la terrasse juste en dessous de moi et j'ouvre discrètement la porte coulissante seul un léger grincement s'entend. Je rentre dans l'appartement sans fait un bruit. Erwan rentre suivit de Émile qui pousse un petit cris.
Moi : Quoi bordel ? ( dis-je en étant agacés )
Émile leva le doigt en direction de mon dos. Je me retourna. Un homme nue était allongé dans son lit. Il fessait de petit ronflement et un filer de bave couler sur son menton. Il fallait que l'on tombe sur la chambre d'un nudiste.
Moi : Vite je vois la porte.
Nous sortons tous de la chambre avec l'agilité d'un chat. Heureusement l'homme avait oublié de fermer le porte de sa maison.
Je descends les escalier en courant et nous sortons tous les trois de l'immeuble.
Erwan : Vite on se barre sinon on risque de se faire prendre.
Et nous commençons à courir comme des déjantés. Une fois de plus on ne c'est fait pas prendre. Le point négatif c'est que nous n'avons toujours pas l'argent et que Martin nous a planté.
