L'attentat

Chapitre 1: Leila

Ce matin je me levai assez tôt, j'avais hâte de partir de cet orphelinat où tous le monde se moquaient de ma sœur et moi ! Heureusement tante Anna avait demander si elle pouvait nous abriter chez elle jusqu'a notre majorité. Ma jumelle Mina a sauté de joie en l'apprenant elle l'adore et est super proche d'elle. Moi je préfère tante Violette et ses deux bouts de chou.

Mais il faut dire que Rémi le fils d'Anna est super mignon il me fais mourir de rire quand je le voie.

En cet instant je pensai à maman elle me manque trop: elle n'est plus là pour que je lui parle de garçons ni pour faire du shopping avec moi comme avant. J'ai ma sœur mais ça ne suffis pas! Surtout que j'aurai eu un petit frère ou une petite sœur. Et de plus personne ne connaît la raison de leur mort. Mon père conduisait bien et n'aurais jamais pu avoir d'accident (un camion nous a percuté un jour et papa a fait une manœuvre pour éviter qu'on ce le prenne et que l'un de nous meurt ... ; et un incendie: papa aurais réagi au car de seconde il est pompier) alors que-ce qui a pu les tuer ?

J'entendis quelqu'un bouger et regarda le dortoir où toutes les filles dormaient (on a entre 2 et 17 ans à l'orphelinat) et vis Morgane Trapit se levait et me dis :

-Déjà réveiller Leilaconne tu penses à ta pauv'mère qui t'as abandonner ?

-Non ma mère NE M'A PAS ABANDONNER comme la tienne.

Tandis que Morgane et moi nous disputions les orphelines se réveillaient et Miss Dentrophe la surveillante arriva tapa dans ces mains et dit son rituel:

- Mes chères filles le petit déjeuner est prêt allez mangez sauf vous miss Leila et Mina j'ai une annonce a vous faire.

Morgane me passa devant me bouscula et dit méchamment:

- Bien fais pour toi

Mon sang ne fis qu'un tour et je serrai les points pour ne pas la frapper comme disait ma mère on ne résous pas la violence par la violence.

Je sentis Mina me prendre la main pour suivre Miss Dentrophe dans le bureau du directeur je regardai ma jumelles et lui fis un faible sourire qu'elle me rendis.

Je me demandai ce que nous voulait M Monfran le directeur de l'orphelinat.