L'attentat

Chapitre 8: Mina

Le mail me fit l'effet d'un coup de poignard dans le dos. Elle savait qu'elle était en danger. Mais comment sont morts nos parents ? Nous ne le saurons probablement jamais, c'est un attentat c'est sûr.

J'observai ma sœur elle était perdue dans ses pensés, je vis qu'une larme coulait de son œil mais elle n'y prêta aucune attention elle s'effondra sur mon lit en pleurant. Je la prit dans mes bras et tentai de la réconforter mais les mots me manquai j'avais aussi besoin de réconfort qu'elle.

Les larmes commencèrent à couler de mes yeux je pensai à enterrement de mes parents. Il faisait gris. Je n'arrivai pas à parler de mes parents tellement je pleurai, mais Leila, elle a parlé avant d'avoir la gorge noué, c'est Violette qui avait dit l'essentiel:

C'était des parents formidables, ma sœur est mon modèle elle était toujours là pour ses filles. Là où elle est maintenant elle m'entends alors Nina ma chère grande sœur sache que je t'aime, ton couple était parfait vous ne vous êtes jamais disputés violemment toujours là pour pour pour vos filles, toujours heureux vous êtes morts ensemble comme tu le voulais. Je t'aime ma grande sœur chérie. Tu as toujours était là pour moi tu m'as soutenue le jour de la mort de papa, maman, je te promet de veiller sur Mina et Leila. Et toi Marc tu as rendu heureuse ma Nina. Je ne vous dis pas ADIEU mais AU REVOIR  on se reverra au ciel. Vous n'avez pas eu peur de la mort ! Je tacherai dans faire autant au revoir. ( elle avait dit cela en pleurant et en ce mouchant)

Je me souviens de ces paroles comme si c'était hier, tante Violette avait très bien expliqué ce que je voulais exprimer. allais-je devoir enterrer toute ma famille ? Je me le demandais ? Soudain me tirant de mes pensés le téléphone de Leila a sonné. Elle a décroché d'une voix tremblante:

-Allo ?

-... ( je n'ai pas entendu ce que disait l'interlocuteur)

-Oh salut tante Violette.

Je n'écoutais plus comment Leila avait pris le mail ? Pensait-elle aussi à l'enterrement des parents ?