L'enlèvement (TERMINER)

Elisabeth...

Dans un coin de la pièce il y avait une ombre noire. Je tapota l'épaule à Mathilde pour qu'elle puisse se retourner. Dès qu'elle le vis elle brandis son couteau dans sa direction. Puis nous avançâmes doucement. J'avais vraiment peur et je n'était pas la seule à avoir le frousse. L'ombre était tout près de nous quand j'entendis une voix non lui de la:

-Daphné c'est tu piège ne taproche pas de ça.

Aussitôt les parole dite je recula de plusieurs pas en arrière. C'était la voix d'Elisabeth. Elle était faible mais bien la.

-ELISABETH ON VIEN TE CHERCHER OÙ ES-TU?
-Je suis dans une boîte et dans le même pièce que vous
-Ok c'est bon je vois la boîte.

Je me dirigeais vers la boîte avec Mathilde pour couvrir mes arrières. C'était une lourde malle en bois verrouiller à clef. Je me précipita dans toute le pièce pour trouver quelque chose comme la clef ou un pied de biche. Très utile pour ouvrir de force. Malheureusement il n'h avait rien de se genre.
-Elisabeth, c'est moi Mathilde. On va te sortir de la je te le promets.
-Tu es venu toi aussi!
-Bien sur!
-Pourquoi vous n'appelez pas la police là?

Mais bien sur la police! J'avais complètement oublier sa présence. Je fouilla dans mes poche mais il n'y avait rien. J'avais laisser mon téléphone chez nous sur la table.
-Et merde!
-Qu'est-ce qu'il y a?
-Mathilde t'aurait pas un téléphone toi au Elisabeth?

Les deux répondirent que non. Donc pour résumer nous étions dans une usine à moitié délabré qui est le répertoire de maniaque enleveur de femme sans téléphone pour nous secourir. Sérieux on est dans le merde! Un lourd bruit de porte se fit entendre en haut des escaliers.

-Martin je t'avais pas dit de barrer la porte. Notre aurai pu s'enfuir. Beavo mec!
-Ouais désolé Jule.

Et merde nous sommes piégée. Et puis Jule et Martin. Quel nom dégueulasse! Mathilde m'attrapa la main et couru vers l'espace noir ou personne n'allait. Je vis les deux homme descendre dans l'escalier et tourner vers la boîte où était enfermé Elisabeth. Les deux homme la débarraire et il prirent Elisabeth à deux elle était nue. C'était horrible. Pour ne pas que je cris Mathilde mis sa main devant ma bouche. Ils commençaient à la tripoter je me ferma les yeux pour ne pas voir cet horreur. Je n'entendais que crié Elisabeth. Après environ une heure de viol, les hommes parti laissant Elisabeth sans défense par terre nue. Moi et Mathilde coururent vers elle et je lui donna mes vêtements que j'avais apporté en surplus. Elisabeth pleurais sans cesses. C'était vraiment triste. Pendant que Mathilde s'échappait du troue qui nous à servie d'échappatoire pour la première fois moi je me dirigeais vers le lourd coffre de bois. Le clef avait été oublié la. Je me suis dit super on aura une preuve digitale. Je la pris avec ma manche puis courue vers le troue pour me retrouver enfin vers le véhicule qui était là. Puis nous prirent la route qui menais vers le chemin de police.

•*•

Fin